Posté dans Actualités
Tonte et ramassage des feuilles : nous avons choisi la nature

Tonte et ramassage des feuilles : nous avons choisi la nature

À l’heure où tout le monde s’accorde à reconnaître que le réchauffement climatique a des conséquences dramatiques, tant sur le climat que sur la biodiversité,
À l’heure où tout le monde s’accorde à reconnaître que l’emploi du glyphosate est dangereux pour la santé humaine, désastreux pour les insectes, 
Nous avons fait le choix de repenser l’entretien de nos espaces verts supprimant l’emploi de glyphosate (le recours aux pesticides et l’éradication de la nature spontanée ne sont plus compatibles avec les enjeux de préservation de l’environnement et en particulier avec la qualité de l’eau).

Nous avons aussi fait le choix de la gestion différenciée des espaces. Cela consiste à adapter le mode d’entretien des espaces en fonction de leur fréquentation, de leur usage et de leur localisation.
Les fréquences d’intervention, ainsi que les moyens humains et matériels sont adaptés, en essayant de maintenir une gestion la plus douce possible.Les espaces verts sont ainsi classés en plusieurs catégories :
• l’espace de prestige bénéficiant d’interventions très fréquentes
• l’espace intermédiaire dont l’entretien est moins intensif
• l’espace naturel où la faune et la flore spontanées sont favorisées.

La gestion différenciée permet de favoriser la diversité des êtres vivants et des milieux naturels, appelée biodiversité. Les espaces verts, comme les espaces naturels, servent aussi de lieux de vie pour des espèces animales et végétales sauvages de plus en plus menacées par la destruction ou la fragmentation de leurs milieux naturels. Un oiseau sur huit, un mammifère sur quatre et un amphibien sur trois est aujourd’hui menacé d’extinction !

La gestion différenciée des espaces verts à Mourenx se traduit par un espacement des fréquences de tonte, un fauchage annuel en fin d’été, sur certains sites, au lieu de plusieurs tontes dans l’année, un paillage des pieds d’arbres, pieds de haies et massifs avec copeaux de bois, un désherbage alternatif (thermique, mécanique, manuel ou pas de désherbage du tout, taille douce des arbres et arbustes), un enherbement spontané des espaces minéraux non fréquentés.

Ces pratiques font évoluer l’aspect des espaces verts.
À chacun de s’habituer et de faire évoluer son regard en tolérant davantage l’herbe qui pousse autour de nous.
C’est la qualité de notre environnement et le bien être de tous qui en dépendent !

Nos opposants assènent que la ville est sale, que c’était mieux avant. Laissons les à leur archaïsme, à leurs pensées rétrogrades. L’herbe et les feuilles mortes sont essentielles à la biodiversité. Qu’ils cherchent autre chose à critiquer ! Leur attitude est irresponsable.

Méthaniseur de Fonroche : visite des élus

Méthaniseur de Fonroche : visite des élus

Avec une délégation de maires de la Communauté de Communes de Lacq-Orthez et quelques élus du conseil municipal, nous sommes allés visiter l’unité de méthanisation de Fonroche de Villeneuve sur Lot.

Semblable à l’unité qui sera prochainement construite sur Mourenx, à proximité de l’entreprise Arysta Life Sciences, elle produit du méthane à partir de déchets issus d’abattoirs ou d’entreprises agro-alimentaires, de lisiers ou de drêches de maïs doux.

Cette visite nous a permis de nous rendre compte du processus de méthanisation, du fonctionnement des approvisionnements et de leurs rotations. Respectueux de l’environnement, le méthaniseur  de Mourenx se nommera Bio Béarn. Il créera une dizaine d’emplois directs et une trentaine d’emplois induits. La production de méthane sera directement injectée dans le pipe de Terega à proximité du site. 

Après l’installation des Laboratoires des Pyrénées et des Landes sur l’ancien bâtiment de Célanèse, les panneaux photovoltaïques de Total Solar qui seront installés sur des parcelles inconstructibles, l’investissement d’Air Liquide, ce méthaniseur est une très bonne nouvelle pour l’emploi sur le site de Mourenx-Noguères-Pardies.

Il confortera encore notre ambition de territoire à énergie positive.

Gendarmerie : nous tenons nos engagements !

Gendarmerie : nous tenons nos engagements !

C’était un engagement pour nous. Mieux accueillir les usagers, en renforçant le service public. Donner à nos gendarmes les meilleures conditions de travail, leur permettre de vivre ensemble, en caserne, et non disséminés dans le parc locatif social (parfois sur le même palier que les personnes qu’ils peuvent interpeller).

Le noeud du problème était qu’il fallait trouver le montage financier permettant sa réalisation. Un serpent de mer pour mon prédécesseur qui, à court d’idées, demandait, dans un courrier en date du 24 janvier 2014, au président de la CCLO de porter le projet… Ce qui lui a été refusé par le Président de la CCLO dans un courrier du 17 février 2014, d’autres collectivités comme Artix, Orthez, Arthez-de-Béarn ayant construit leurs gendarmeries. Ce qu’il n’ignorait pas.

Arrivée aux affaires en 2014, notre municipalité trouva la solution permettant de réaliser la gendarmerie sans peser sur le budget communal et sans faire financer le programme par vos impôts locaux. Nous avons créé un budget annexe, qui s’équilibre avec un emprunt couvert par les loyers versés par l’État. Autrement dit les loyers payés l’État pour la gendarmerie remboursent l’emprunt. 

Il suffisait d’y penser pour enfin réaliser ce que nous nous étions engagés à faire. Opération blanche pour notre collectivité. 

Le service public de la ville s’est considérablement amélioré depuis 2014. Construction d’une gendarmerie, travaux d’accessibilité et de sécurité sur la cité scolaire (Conseil régional de Nouvelle Aquitaine), construction d’un nouveau pôle emploi sur l’ancienne maternité, École de la deuxième chance, rénovation ou reconstruction de toutes nos écoles, l’ensemble du Gabizos comprenant la salle Daniel BALAVOINE… Bientôt le pôle santé sur l’ancien défi mode dont nous venons de faire l’acquisition.

Vous le voyez, nous travaillons sans relâche à l’amélioration du service public et les résultats sont là. 

Posté dans Actualités
La liberté commence où l’ignorance finit

La liberté commence où l’ignorance finit

Le 8 mai 1945, dans la liesse d’une vie redevenue possible, les joies et les pleurs se sont indistinctement mélangés à l’annonce de la fin de la seconde guerre mondiale.

Un conflit qui fut le plus meurtrier de l’histoire de l’humanité. Notre mémoire populaire porte le deuil de 52 millions de victimes, de pères, de mères, de frères, de sœurs, d’enfants.

Aux victimes, vinrent s’ajouter 35 millions de blessés et 3 millions de disparus.

Pour la première fois dans l’Histoire, cette guerre fit plus de victimes civiles que militaires. Elle déporta des enfants, des vieillards, des femmes, des hommes. Elle fabriqua les camps de concentration et d’extermination, les fours crématoires ou encore la bombe atomique.

Cette commémoration c’est pour nous l’occasion de rendre hommage à toutes les victimes, civiles et militaires de cette terrible guerre.

Nous offrons une deuxième chance à nos jeunes

Nous offrons une deuxième chance à nos jeunes

Lucien, 20 ans, a décroché à l’école alors qu’il était en 5ème. Marre de l’école car éprouvant des difficultés dans une matière, puis une autre… comme de nombreux « décrocheurs ». Placé en foyer d’accueil il connaît des difficultés jusqu’au jour où il trouve sa voie. Il veut être jardinier ou maraîcher, travailler en plein air, dans la nature. C’est un stage qui lui a permis de trouver sa voie.

Suivit par la mission locale de Pau, ce jeune Palois intègre alors notre école de la deuxième chance. Il conforte son choix, son projet professionnel, travaille les fondamentaux nécessaires, les mathématiques, pour arriver à passer son CAP de jardinier-paysagiste plus tard.

Son témoignage, parmi d’autres, montre à quel point nous avons eu raison de faire cette école, avec le volontarisme du Conseil Départemental, la participation de l’État, de la Région Nouvelle-Aquitaine et de la CCLO.

Grace à l’accompagnement individuel, aux différents stages en entreprises, au coaching de leurs encadrants, ces jeunes se lèvent le matin avec un but, ils se projettent, reprennent le goût d’apprendre ou d’entreprendre. Le goût de la vie.

Posté dans Actualités
Un budget 2019 pour poursuivre la modernisation de notre ville

Un budget 2019 pour poursuivre la modernisation de notre ville

Le conseil municipal de Mourenx vient d’adopter le dernier budget de notre mandature à l’unanimité moins une abstention.
Ce budget, conforme à nos engagements, consacre 3 millions d’euros en investissement sur notre programme nouvelles écoles, l’aménagement de la place de Navarre, l’acquisition et le démarrage des études pour le pôle de santé, notre projet de rénovation du gymnase municipal…
Les grands équilibres du budget, les projets, tels qu’ils ont été débattus lors des réunions publiques organisées dans les quartiers de la ville sont présentés dans notre magazine municipal.
Avec 38% de dette en moins, 40% d’investissements en plus sur la mandature et aucune hausse d’impôts, nous avons accéléré la transformation de notre ville.
Nous l’avons fait au prix de la réduction de nos dépenses de fonctionnement, dans un contexte de baisses très importantes des dotations de l’état et de nos ressources.
RAVATHERM investit près de 9 millions dans une nouvelle unité à Artix avec l’aide de la Région

RAVATHERM investit près de 9 millions dans une nouvelle unité à Artix avec l’aide de la Région

C’est une excellente nouvelle pour l’économie et pour l’environnement.

Le groupe Ravago, propriétaire de l’usine RAVATHERM à Artix, investit près de 9 millions d’euros dans la reconstruction de son unité aujourd’hui obsolète.

Cet investissement permettra d’augmenter sa capacité de production de plaques isolantes en polystyrène extrudé tout en réduisant de manière significative sa consommation d’électricité.

Le nouveau procédé permettra également de supprimer l’utilisation de HFC (HydroFluoroCarbure) gaz à effet de serre qui contribue au réchauffement climatique, 14.000 fois plus que le CO2.

C’est sur ce surcoût d’investissement inhérent à cette performance énergétique et environnementale que la région intervient en apportant une aide de 400.000€.

Un dossier sur lequel je me suis beaucoup investi en tant que Conseiller Régional de Nouvelle Aquitaine, avec Chemparc et Jacques CASSIAU-HAURIE Président de la Communauté de Communes de Lacq-Orthez.

Une excellente nouvelle pour les dizaines d’emplois présents et pour l’avenir de notre territoire.

UPL à Mourenx : Les indiens investissent 16 millions d’euros

UPL à Mourenx : Les indiens investissent 16 millions d’euros

Vendredi 12 octobre, Jai SHROFF, Pdg du groupe UPL était à Mourenx pour l’inauguration de la nouvelle unité de bouillie bordelaise de Cerexagri. L’occasion pour moi de le remercier au travers d’un discours d’accueil, de lui remettre la médaille d’honneur de la ville et de lui faire signer le livre d’or de la ville sur lequel il a écrit ces quelques mots : » We are very happy today to inogurate our new Plant. Hope far bigger Plants in the future »

« Je suis très heureux, Monsieur le Président, de pouvoir vous accueillir ici à Mourenx. 

C’est un honneur pour moi.

Une chance pour notre territoire, notre commune, de compter parmi ses investisseurs un groupe comme UPL avec une dimension internationale.

UPL est un acteur mondial important dans le domaine de la protection des cultures maraîchères.J’ai pu, lors de ma visite en Inde en février, me rendre compte de la qualité environnementale de vos installations. J’ai pu mesurer l’ambition de votre groupe, ses nombreux investissements.J’ai aussi vu votre implication dans la vie locale, avec votre fondation, ce qui fait d’UPL un groupe industriel respectueux de l’homme et de son environnement. 

Un proverbe indien dit : « la terre n’est pas un don de nos parents. Ce sont nos enfants qui nous la prêtent » Nous devons à l’échelle planétaire modifier nos modes de consommation, de production pour respecter l’homme et son environnement. Ce sont les défis de demain. Et c’est ensemble que nous devons relever ces défis. Cela se fera par transition. « Paris ne s’est pas fait en un jour. ». Nous voulons relever ces défis avec vous.

Le cœur de ville change !

Le cœur de ville change !

Depuis le début de notre mandat nous nous sommes attachés à travailler de concert avec le principal bailleur de la commune, SNI. Une étroite collaboration qui nous a permis de redéfinir le PSP, corriger un certain nombre d’orientation comme par exemple la résidence Ansabère, ou encore donner une touche plus apaisée à notre patrimoine en imposant un style : nuances de blancs et de gris sur les façades.

Notre objectif commun est d’apporter aux Mourenxois des parcours résidentiels, de proposer une offre en adéquation avec les besoins de notre temps. Un premier bâtiment dans le secteur du gabizos verra ainsi ses 4 étages (sans balcon ni ascenseur) disparaître sous l’effet d’une isolation thermique par l’extérieur. SNI proposera également des logements meublés prochainement pour répondre à des besoins spécifiques : école de la deuxième chance par exemple. Nous irons plus loin sur les démolitions afin de réduire la vacance, d’aérer, de dédensifier le quartier Charles de Bordeu par exemple.

Mourenx fera 60 ans l’an prochain. Nous voulons que la ville soit plus belle à 60 ans qu’à 20 ans ! Nous modernisons l’habitat, le patrimoine de la ville (écoles, salle Daniel Balavoine, Gendarmerie, locaux associatifs, équipements sportifs)

Le développement économique au cœur de nos priorités

Le développement économique au cœur de nos priorités

Dès sa prise de poste, notre nouveau préfet, Gilbert Payet, confiait à un quotidien local son intérêt pour le développement du bassin Lacq qu’il classait parmi ses priorités.

Ce mardi 17 octobre, nous avons pu, avec Jacques CASSIAU-HAURIE, Président de la CCLO et les industriels du bassin de Lacq (SOBEGI, ARKEMA, TOTAL, NAVASEP, CEREXAGRI, RAVATHERM, ABENGOA…) présenter au préfet notre tissu industriel, ses enjeux, ses nombreux atouts.
Nous sommes revenus sur les recents investissements :
– NOVASEP et sa ligne de purification d’oméga 3 à Mourenx inaugurée fin 2014 et qui aura permis la création de 30 emplois.