Bio-méthaniseur de Mourenx : économie circulaire et emplois

Bio-méthaniseur de Mourenx : économie circulaire et emplois

Les premiers recrutements débutent pour le méthaniseur de Mourenx.

Présenté lors de la campagne des municipales, le projet de méthaniseur – porté par le groupe TotalEnergies (depuis son rachat de Fonroche en 2021) – prend vie et sera opérationnel d’ici à l’été prochain, avec une première sortie de production à l’automne.

Mercredi dernier, avec des élus de la CCLO nous nous sommes rendus sur son chantier.

En construction sur le site de Rio Tinto, ex-Pechiney, ce méthaniseur est un projet d’économie circulaire au cœur de notre territoire.
Le bio-méthaniseur valorisera des sous-produits agricoles et agro-alimentaires locaux pour produire : du biogaz (l’équivalent de la consommation de gaz de plus de 18 000 habitants) directement réinjecté dans le réseau, et du digestat (engrais organique pour fertiliser les sols agricoles, utilisé comme substitut aux engrais chimiques).
Cette production permettra l’économie de plus de 13 000 tonnes de CO2 et combat donc également le réchauffement climatique.

Sa technicité (entre autres l’hygiénisation) et son cahier des charges restrictif (refus de déchets non biodégradables) font que ce méthaniseur ne sera pas source d’effets secondaires néfastes comme le sont souvent les plus petites structures.

Pour l’unité mourenxoise TotalEnergies va recruter 7 emplois directs. L’activité du méthaniseur sera également source d’emplois indirects.
Dès aujourd’hui le groupe recherche, en CDI, des opérateur·trice·s logistique et des technicien·ne·s polyvalent·e et de maintenance.
Vous pouvez répondre à ces premières offres ou candidater librement. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site Internet de la CCLO.

Je suis fier de ce projet collectif qui regroupe la CCLO et son GIP Chemparc, la ville de Mourenx, mais aussi Euralis, Teréga et désormais TotalEnergies, sans oublier la Région Nouvelle-Aquitaine, et son président Alain Rousset, qui en est financeur.

Avec les investissements et emplois annoncés chez Caremag et chez Novasep, avec la construction d’Alpha chitin, avec l’extension de Chemstart’up, avec les projets de CSR et de méthanation… nous pouvons dire, en vérité, que notre territoire se porte très bien.

La CCLO prouve qu’elle est pleinement engagée dans un développement économique pour une croissante verte et pour un avenir serein et respectueux de la planète et de tou·te·s.

Une bonne santé économique pour 2022 faite d’investissements et d’emplois

Une bonne santé économique pour 2022 faite d’investissements et d’emplois

L’année 2022 commence de manière radieuse pour notre territoire avec l’annonce de deux bonnes nouvelles économiques qui viennent confirmer notre dynamisme et notre savoir-faire.

En premier lieu, la société Carester a annoncé son projet d’implantation industrielle Caremag sur la zone Induslacq.
Après avoir mis en concurrence plusieurs territoires, c’est à Lacq que cette entreprise a décidé d’implanter son premier démonstrateur industriel permettant de recycler les aimants d’équipements en fin de vie. Les terres rares qui en seront extraites permettront d’assurer la production de véhicules électriques et d’éoliennes, aujourd’hui principalement importées de Chine. Cette unité industrielle contribuera à sécuriser l’approvisionnement en France et en Europe.
Avec un investissement de 42 millions d’euros, l’entreprise créerait une soixantaine d’emplois directs, à l’horizon 2024.
Outre la CCLO, le concours d’acteurs du territoire a permis cette implantation : notre GIP Chemparc, la Région, le Département, le BDEA qui se sont mobilisés avec TotalEnergies et la Sobegi.

La seconde bonne nouvelle nous vient du groupe pharmaceutique américain Pfizer qui s’apprête à confier au sous-traitant Novasep, de Mourenx, la production de sa pilule anti-COVID.
520 millions d’euros sur cinq ans sont prévus pour soutenir l’innovation et la recherche vers un traitement contre la COVID-19. Novasep, spécialisée dans la production de principes actifs de médicaments, bénéficiera d’une partie de cet investissement, d’un agrandissement de son usine et surtout de la création d’une quarantaine d’emplois directs.

De tels investissements sont pour le bassin de Lacq, pour l’ensemble de notre territoire, une reconnaissance de notre expérience et de notre savoir-faire unique.

Notre principale mission au quotidien est de faire venir des entreprises et de développer le territoire.
Les décisions, parfois audacieuses, prises ces dernières années par la CCLO pour le développement économique de notre territoire portent leurs fruits. Les implantations d’Alpha chitin, du méthaniseur de TotalEnergies, de la plate-forme logistique de Lidl, le développement de Novéal, de Cosméfab, de Chemstart’up… et bien d’autres encore, en sont la preuve.
Ces projets, le plus souvent tournés vers des productions respectueuses de l’environnement, se concrétisent et sont source d’emplois.
Créer des emplois c’est créer de la richesse, c’est faire vivre des foyers, c’est maintenir et développer des services et des commerces, en somme c’est faire prospérer notre territoire.

Alors soyons fiers de nos entreprises, de nos actions, de notre territoire !

Pour en savoir plus + :
sur Caremag, cliquez ici.
sur Pfizer chez Novasep, cliquez ici.

Pour un avenir toujours plus prospère

Pour un avenir toujours plus prospère

Depuis quelques jours les rues de nos communes s’illuminent à l’approche des Fêtes et des animations se font jour pour les préparer.

L’année qui s’achève aura été riche en actions et intense en engagements, bien que bousculée par la COVID, et 2021 fut source de réussite pour notre territoire.

Sur le plan de l’économie, en premier lieu, tous les feux sont au vert : le territoire de Lacq-Orthez bénéficie d’une vitalité forte et enviée. Alors qu’il y a quelques années des friches industrielles venaient rappeler les temps glorieux mais passés du bassin, aujourd’hui ces mêmes friches sont la preuve de notre renouveau économique : des entreprises naissent, des industries se tournent vers l’avenir et des emplois se créent. Cet avenir est déjà notre présent.

Par l’implantation de ces entreprises, par nos actions communautaires et municipales, nous nous tournons vers la transition écologique. Dans ce domaine c’est un discours que beaucoup d’élus tiennent, direz-vous. Mais il faut constater qu’il y a ceux qui l’annoncent et ceux qui la font. Dans tout ce que nous entreprenons le respect de la biodiversité, la décarbonation de nos activités, la recherche d’un développement durable sont maîtres mots. Il en est d’une alimentation plus saine dans les écoles de Mourenx et les crèches de la CCLO, de la rénovation frugale du belvédère, des entreprises pour une croissance verte que nous installons et développons sur notre territoire, etc.

Cette année, tant de choses ont été faites dans bien des domaines : le pôle de santé avance à grand pas, l’offre médicale s’enrichit, une résidence intergénérationnelle va sortir de terre, la rénovation urbaine bat son plein, nous développons les outils numériques pour renforcer nos missions de service public, les actions sociales et les animations culturelles font vivre notre territoire, etc.

Je voudrais surtout retenir qu’à la mairie de Mourenx, comme à la CCLO, s’est instauré un climat sain et apaisé. La majorité municipale avance forte et unie et à la CCLO c’est à l’unanimité que le projet de territoire et le budget ont été votés.

A la veille d’une année démocratiquement importante pour notre pays et alors que des discours d’exclusion et de haine se font jour, je veux vous inviter à la prudence pour ces échéances nationales. « Ne dissociez jamais la liberté de l’égalité » nous disait François Mitterrand. Veillons tous au respect scrupuleux des acquis sociaux et sociétaux pour que la gouvernance de la terreur et du tragique ne soit pas notre avenir.

Je souhaite que cette période de Fêtes soit pour vous source de joie et de partage.

Bonnes Fêtes de fin d’année.

Des commerces essentiels à tou·te·s

Des commerces essentiels à tou·te·s

Ce week-end verra le retour de la foire d’Artix. C’est en raison du format adapté proposé par les services et de la stricte application des mesures gouvernementales que cet événement communautaire peut se tenir. Soutenir, accompagner et développer le commerce est un axe majeur de notre politique.

Alors qu’il y a quelques mois certains cherchaient à savoir lesquels étaient essentiels et lesquels ne l’étaient pas, une chose est sûre les commerces sont indispensables à tou·te·s.

Pourtant, malgré cette réalité, nous constatons que les centres-villes se vident, que des enseignes disparaissent et que même les centres commerciaux sont boudés.

Les différents temps de confinements que nous avons vécus, et que nous espérons terminés, ont grandement impacté le tissu commercial de nos territoires. Mais c’est aussi cette période qui oblige à se réinventer : le consommateur a modifié ses habitudes d’achats et le commerçant doit faire évoluer ses offres.

Désormais, nous ne pouvons pas dissocier l’offre commerciale et les outils numériques. C’est pourquoi depuis de longs mois nous travaillons à la CCLO à un accompagnement à la digitalisation des commerces. L’idée n’est pas que la boutique ne soit accessible qu’en-ligne mais que le numérique soit une autre porte d’entrée au commerce. Les commerçants ont besoin d’être accompagnés dans ces mutations et nous allons nous y employer. Nous présenterons ces futures actions dans les prochains jours.

Réinventer le commerce c’est aussi lui permettre de répondre aux attentes des consommateurs sans s’éloigner de ces derniers.

Pendant trop longtemps les pouvoirs publics ont laissé les centres-villes se vider, aujourd’hui tant à la CCLO qu’à Mourenx nous travaillons à maintenir et développer un commerce de proximité.

Avec la communauté de communes, c’est par exemple accompagner les communes pour l’installation d’un commerce en centre-bourg. C’est aussi soutenir les animations commerciales pour les Fêtes de fin d’année ou bien les foires de Mourenx et d’Artix.

A Mourenx c’est également par une politique d’urbanisme volontariste que nous y travaillons. C’est la place de Navarre qui a été réhabilitée avec la création d’un espace de rencontre au cœur de la zone commerciale. Demain ce sera au tour de la place de Béarn avec de nouveaux aménagements et la création d’un îlot de fraicheur.

C’est cette somme d’actions à Mourenx et à la CCLO qui soutient nos commerces et combat la désertion de nos territoires.

Les feux sont au vert

Les feux sont au vert

Notre territoire de Lacq-Orthez va bien, il va économiquement très bien.

Sur le bassin de Lacq tous les feux sont au vert. Chemstart’up s’agrandit une nouvelle fois, le permis de construire du centre logistique de Lidl (avec ses 300 emplois à la clef) est signé, le méthaniseur Fonroche/Total énergies sort de terre, les travaux de Comgraf Alpha chitin sont également lancés, bientôt ce seront ceux du centre de stockage d’énergie… Tant de projets deviennent réalité. Ils sont la preuve de la réussite de notre politique de reconquête de notre territoire par le développement économique et par des entreprises et industries tournées vers la transition énergétique.

Satisfaits de ces réussites, nous aurons bientôt le plaisir d’annoncer d’autres bonnes nouvelles.

Notre territoire est fort et est un contre-pied à l’hypermondialisation dévastatrice dont les effets se font sentir comme jamais.

La moindre production est directement absorbée par les puissances productives. Est-il normal que le bois aquitain parte directement en Chine alors que les menuisiers et professionnels locaux n’arrivent pas à se fournir ?

Il est en est de même pour l’approvisionnement en métal qui fait tant souffrir le domaine de la construction ces derniers mois.

Tous, producteurs, entrepreneurs et consommateurs nous en souffrons. Le monde ne tourne pas rond et nos dirigeants ne sont pas à la hauteur sur ces sujets.

Seule une réindustrialisation forte et l’apport de moyens conséquents aux producteurs et entrepreneurs français pourra enrayer ce phénomène.

A notre échelle nous y participons déjà en favorisant l’économie locale via la commande publique.

Quand la CCLO refait une route, quand elle construit un bâtiment, quand elle réhabilite une friche industrielle… elle favorise les entreprises locales, qui elles seules créent de la richesse et de l’emploi.

Mais cet engagement pour un développement économique local est un combat de tous les jours pour des investissements offensifs et réalistes.

60 % des Français sont favorables au protectionnisme plutôt qu’au libre-échange mondialisé. Les 40 années de libéralisme ont engendré des injustices, de la casse et des drames. Il est temps de proposer un autre modèle de production et de consommation.

C’est dès aujourd’hui, sur le terrain, avec empathie et bienveillance que nous y arriverons.

Engagé·e·s pour nos territoires

Engagé·e·s pour nos territoires

Nos territoires sont oubliés face à des agglomérations toujours plus grosses et des métropoles toujours plus fortes.

Depuis une quinzaine d’année, la volonté politique de concentrer les pouvoirs et les richesses dans de grands espaces citadins appauvrit nos territoires ruraux et péri-urbains.

Le gouvernement actuel – avec sa « strat-up nation » – continue d’être le fossoyeur des services publics et des économies locales.

Sur notre territoire et à Mourenx, avec force et conviction, nous sommes arrivés à palier les manques de l’Etat. Les services publics sont maintenus voire renforcés (développement de l’offre de soins, maintien de la trésorerie, nouveaux locaux pour la gendarmerie, le pôle emploi et l’école de la 2ème chance, rénovation des écoles publiques…) et une réelle solidarité et équité voient le jour entre les communes de la CCLO (par l’instauration d’un pacte de gouvernance qui remet de la justice dans le jeu).

Mais un territoire ne peut vivre que grâce à ses activités économiques qui seules créent de la richesse et des emplois.

Ce travail est notre combat quotidien pour maintenir ces activités et les développer. Notre territoire a une âme industrielle. S’il a souffert de la fermeture de grandes usines, il bénéficie depuis peu d’un regain d’activité.

La France est parmi les pays industriels celui qui a subi la plus forte désindustrialisation durant les dernières décennies. L’industrie ne représente plus que 13 % du PIB national, contre 25 % en Allemagne et 20 % en Italie. La France a perdu 1,7 millions d’emplois industriels entre 2000 et 2016.

Face à un tel constat, et parce que je crois à l’intérêt d’une industrie tournée vers l’avenir, plus verte, plus sure et toujours créatrice d’emploi, nous nous employons à travailler à la réindustrialisation de notre territoire.

L’industrie a un rôle majeur pour notre pays. Elle ne peut plus être caricaturée et oubliée par nos gouvernants.

Aujourd’hui Arnaud Montebourg est le seul à faire des propositions concrètes pour une réindustrialisation volontariste et responsable de notre pays ainsi que d’un accompagnement à la relocalisation. Le relèvement de notre nation et de son économie ne peut passer que par cela. C’est la raison pour laquelle j’ai décidé de soutenir sa candidature lors de la prochaine élection présidentielle.

Marchés, commerces : tous essentiels

Marchés, commerces : tous essentiels

Dimanche dernier je me suis rendu au premier marché de Lucq-de-Béarn. Avec ce nouveau marché de plein-vent et un autre à Puyoô, depuis 3 mois, le territoire de Lacq-Orthez compte désormais sept marchés.

Les marchés sont des lieux de vie de nos centres-bourgs, de nos centres-villes. Ce sont des lieux de convivialité et de rencontres, d’échanges et de diversité qui racontent beaucoup de nos villes.

Bien qu’ils soient à l’initiative des municipalités, les services de la CCLO accompagnent leur développement et leur maintien par des actions volontaristes, pour dynamiser l’activité de nos communes et favoriser l’offre commerciale.

Comme tous les commerces, les marchés nous sont essentiels. Les confinements ont montré les attentes fortes quant à la tenue des marchés et c’est pour cela que je me suis battu, dès le premier confinement, pour que celui de Mourenx se tienne dans les meilleures conditions possibles.

Cette période est aussi un accélérateur dans nos pratiques avec un développement des commandes et achats en ligne dans nos commerces. La CCLO a fait appel à un cabinet spécialisé pour trouver les meilleurs moyens d’accompagner les professionnel·le·s et les client·e·s dans cette digitalisation. Un soutien qui s’ajoute aux différentes aides aux commerces pour l’aménagement et la rénovation des locaux, et l’achat de matériels, proposés par la communauté de communes.

Avec l’été les marchés s’animent davantage, la CCLO a reconduit pour cette année les Festimarchés mais aussi les marchés de pays de producteurs (mis en place avec l’aide des communes) et les marchés nocturnes à Orthez.

Les commerces, dans leur globalité, sont les lieux du bien-vivre ensemble, ils sont notre quotidien et participent à la vie de la cité, c’est pour tout cela que la CCLO y apportera toujours une attention particulière.

Une collectivité d’investissements

Une collectivité d’investissements

Il y a près d’un an, le 10 juillet exactement, à la faveur des élections municipales, l’exécutif de la communauté de communes a été renouvelé.

Cette première année de nombreux sujets se sont présentés à nous. Outre le projet de territoire que nous sommes en train d’écrire, nous avons mis en place un pacte de gouvernance audacieux entre les communes du territoire et la CCLO.

Au sein de celui-ci se trouve une importante mesure de solidarité financière. Comme je m’y étais engagé les communes les plus financièrement favorisées viennent abonder les finances des autres. Par cette action nous développons de l’équité entre les 61 communes du territoire et offrons un souffle nouveau à celles qui en avaient besoin. Accompagner l’ensemble des communes c’est aussi les aider dans leurs projets structurants par la reconduite des fonds de concours, pour 1 million d’euros chaque année.

Par ces deux mesures nous venons soutenir les communes, qui souffrent depuis des années de la baisse des dotations de l’Etat, en leur permettant de maintenir leurs services et d’investir.

Ainsi la feuille de route que je me suis donnée est claire : la CCLO doit être une collectivité d’investissements pour continuer à développer notre territoire.

Si tant de dossiers nous attendent durant cette mandature nous pouvons voir que dès cette première année, en pleine crise sanitaire, tant de choses ont été réalisées.

Dimanche, unis avec Alain Rousset

Dimanche, unis avec Alain Rousset

Dimanche dernier, les Néo-Aquitains ont porté la liste d’Alain Rousset en tête des Régionales avec 28,84 %. Cette première place et l’avance sur les autres listes ne doivent pas faire oublier le second tour, surtout quand le FN (Rassemblement National) est en deuxième place. Ce dimanche, cinq listes s’affronteront et je ne peux que regretter que les forces de gauche n’aient pas su fusionner.

Pour son action en termes de développement économique et d’emploi, d’écologie et de transition énergétique, d’éducation et de santé… je soutiens pleinement la liste d’Alain Rousset.

Pendant onze ans, en tant qu’élu au sein de la majorité, j’ai pu constater l’engagement fort d’Alain Rousset, son président, pour l’ensemble de notre grande région et pour notre territoire de Lacq-Orthez.

Il faut savoir que sur la mandature 2015 – 2021, 9000 dossiers pour les Pyrénées-Atlantiques ont été soutenus par la Région et plus de 420 millions d’euros d’aides ont bénéficié aux projets de notre département.

L’engagement de la Région est visible sur le territoire de la CCLO tels que le soutien à la rénovation des sites industriels de Mourenx-Noguères-Pardies-Bésingrand, la création de Phéromone Valley à Lacq, l’accompagnement des projets innovants de Chemstart’up ou encore la requalification de la friche industrielle Saïca à Orthez.

Pour toutes ces raisons, et pour tant d’autres, je vous invite à voter pour Alain Rousset et sa liste « Les talents de nos territoires, l’union de nos énergies ».

« Canoë » en forte croissance à Lacq

« Canoë » en forte croissance à Lacq

C’est en présence du Président de la Région Nouvelle-Aquitaine, Alain ROUSSET, que nous venons de couper le ruban des bâtiments 2 & 3 de « Canoë » à Lacq.

Cette plateforme de transfert technologique sur les matériaux avancés est passée de quelques unités de chercheurs il y a quelques années, à 65 aujourd’hui avec un objectif de 100 à l’horizon fin 2020.

Contrairement aux grandes entreprises, aux grands groupes, à l’instar du GRL tout proche avec Arkéma et Total, les PME et Startup ne disposent pas de centre de recherche et de développement (R&D) leur permettant de développer leurs transferts technologiques pour s’inscrire dans l’innovation. C’est en particulier à ces Startup et PME que s’adresse la plateforme « Canoë ».

Quelles soient très locales, basques ou néo-aquitaines, ces petites entreprises bénéficient de matériels high-tech et de chercheurs pour les y aider. C’est un outil unique en France, développé entre autres par Patrice GAILLARD.

La région Nouvelle-Aquitaine accompagne fortement « Canoë » sur ses développements, comme ici à Lacq avec la participation de la CCLO sur le foncier. Chemparc, qui gère la plateforme Chemstart’up s’occupe de gérer les locaux.

Pas loin d’une centaine de créations d’emplois qualifiés en 6 ans sur les métiers de demain, dans des domaines en pointe et en étant plus respectueux de l’environnement. Voilà les résultats d’un travail collectif, sur un bassin tourné vers la chimie verte.