Signature du contrat de ville

Signature du contrat de ville

Le 07 décembre nous avons signé en présence de Monsieur le Préfet des Pyrénées-Atlantiques, Éric MORVAN,  un contrat de ville veille active pour la commune de Mourenx jusqu’en 2020. A cette occasion, monsieur le Préfet a rappelé que seules deux villes en France ont signé ce type de contrat saluant ainsi notre volontarisme.

Nous nous sommes engagés dans cette démarche pour au moins trois raisons :

être prioritaire sur les crédits de droit commun pour le financement de nos futurs investissements. 

– bénéficier de l’ingénierie de tous les signataires et profiter de la réunion annuelle du comité de pilotage pour être informés des nouveaux dispositifs d’aides vers les collectivités.

– continuer notre action visant à réintroduire la géographie prioritaire de la politique de la ville et pouvoir ainsi bénéficier de crédits spécifiques.

Le contrat de ville s’articule autour de 3 piliers :

Pour le bassin de Lacq, Arnaud MONTEBOURG

Pour le bassin de Lacq, Arnaud MONTEBOURG

Le résultat de la primaire de la droite a montré que tout était possible. Elle a montré que les favoris des sondages ne sont pas toujours les favoris des citoyens. Cela fait écho à l’élection de Trump, au Brexit..

Les électeurs de droite ont placé largement en tête leur candidat le plus radical, dont le programme s’attaque à notre modèle social.

Dans le même temps les Français ne veulent plus de ces politiques, ils veulent une alternative, ils n’en peuvent plus ! De l’austérité, des vieilles recettes qui ne marchent pas, ils n’en veulent plus !

La gauche doit se mettre en ordre de marche et s’unir pour avoir une chance d’être au second tour de l’élection présidentielle.

Elle doit le faire sur ses fondamentaux en renonçant au tournant néolibéral qui a conduit à l’échec de tous les gouvernements de gauche en Europe, comme récemment aux Etats-Unis. Le libéralisme c’est considérer que l’Etat est le problème. Or, dans toutes les récentes élections, les électeurs, les « oubliés », considèrent au contraire que l’Etat peut être une solution.

Les discours nationalistes nauséabonds ont aujourd’hui de l’écho parce que les extrêmes ou les populistes comblent, à leur manière, le vide laissé par la gauche.

Arnaud MONTEBOURG porte depuis des années cette idée que la gauche doit retrouver ses valeurs, qu’elle doit retrouver ses couleurs, qu’elle doit porter la régulation nécessaire d’un monde qui nous échappe. C’était le sens de sa candidature autour de la « démondialisation » lors de la primaire de 2011.

Et je me souviens, avec d’autres, avoir mené ce combat à ses côtés.