Le Salon de l’agriculture bat au rythme de notre territoire

Le Salon de l’agriculture bat au rythme de notre territoire

Ces derniers jours je me suis rendu au Salon international de l’agriculture, à Paris, avec Guy Pémartin, vice-président en charge de l’Agriculture à la CC Lacq-Orthez et maire de Baigts-de-Béarn.

Ce déplacement fut l’occasion de retrouver des acteurs du territoire, de prendre en compte toutes les doléances du monde agricole mais aussi d’échanger sur ce qui fonctionne et ce qui est espéré. La crise n’est pas nouvelle, mais elle s’est accentuée par un excès de normes et surtout des prix payés aux agriculteurs qui ne leur permettent plus de vivre.

Le monde agricole, grâce à son salon dédié, peut faire entendre sa voix.
Il est vrai que les multinationales de l’agroalimentaire et les distributeurs sont très visibles mais les plus petits producteurs, ceux de nos campagnes et de notre quotidien sont présents en nombre et font la fierté de notre terroir et la joie des visiteurs.

Loin des débordements de l’inauguration par le Président de la République, les élus locaux sont bien reçus dans leur ensemble. Les agriculteurs sont continuellement en lien avec leurs élus sur le terrain ; ils savent qui les accompagne et qui les défend.

À la CC Lacq-Orthez, nous souhaitons accompagner ceux qui travaillent cette terre nourricière en leur offrant de nouvelles perspectives : préservation des terres, plantation des haies, approvisionnement local dans les crèches, marchés des producteurs, accompagnement de la plateforme « manger Béarnais », méthanisation, pour ne citer qu’elles.

La France monte au Salon de l’agriculture, d’où la présence de stands du Département des Pyrénées-Atlantiques et de la Région Nouvelle-Aquitaine, où j’étais convié aux côtés de leurs présidents.

Le salon n’est pas qu’une vitrine médiatique, c’est aussi le lieu qui propose des solutions concrètes pour une nouvelle agriculture répondant aux défis d’aujourd’hui et de demain.
Ainsi les pépites de l’innovation du Bassin de Lacq y sont aussi présentes, tel que M2i – expert du biocontrôle dans les avancées scientifiques aux enjeux de l’agro-écologie.
J’ai pu retrouver des partenaires économiques de notre intercommunalité comme l’IFP Energies nouvelles (IFP-EN) – acteur majeur de la recherche et de la formation dans les domaines de l’énergie, du transport et de l’environnement – où je me suis rendu avec le préfet des Pyrénées-Atlantiques mais aussi avec Arnaud Montebourg, ancien ministre de l’Industrie puis de l’Economie et promoteur du « made in France ».

Pour terminer, je tiens à apporter mon soutien à l’inscription de la transhumance au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO. Au-delà de la mise en lumière de nos traditions toujours actuelles, c’est aussi leur préservation qui est en jeu. 

Soutenir ceux qui nous nourrissent

Soutenir ceux qui nous nourrissent

La colère des agriculteurs, traduite par des blocages depuis une quinzaine de jours, n’est pas nouvelle. Depuis longtemps le monde agricole est en souffrance et alerte ceux qui nous gouvernent.

Les normes s’accumulent, les traités de libre-échange sont la source d’une concurrence injuste, la pression de grands groupes est de plus en plus forte… Oui, les agriculteurs marchent sur la tête et, avec eux, c’est tout un Pays qui en paye le prix.

Simplifier la règlementation, garantir une rémunération décente et accompagner dans la transition écologique, voilà le travail que doivent entreprendre nos parlementaires, à Paris et à Strasbourg.

Il ne faut pas opposer agriculture et écologie. Dans les deux cas les excès et la radicalité ne servent à rien, bien au contraire, ils sont contre-productifs.
En première ligne face aux aléas climatiques, nos agriculteurs sont en prise directe avec la nature et mesurent les effets du dérèglement climatique. Il faut donner à nos paysans d’aujourd’hui les moyens de pallier ces bouleversements en adaptant leur travail.

A Lacq-Orthez, bien que n’ayant pas la compétence « agriculture » dans les statuts de notre intercommunalité, nous les soutenons à notre niveau.

Dans les cantines de nos crèches nous valorisons les circuits-courts (c’est aussi le cas pour la restauration scolaire de Mourenx) et nous sommes récompensés pour cela.
Dans nos foires et nos animations nous mettons à l’honneur le monde agricole.
Nous sommes alliés depuis longtemps avec la Chambre d’agriculture et organisons des Marchés de pays de producteurs sur tout notre territoire, tous les étés.
Nous avons entendu les viticulteurs et les avons accompagnés, autant que nous le pouvions, avec les événements de « Terre de vins » à l’automne dernier.

Des petits pas pour certains, pour moi des petites briques qui se superposent et viennent soutenir tout un écosystème.

Lacq-Orthez ce n’est pas que de l’industrie (aussi verte et vertueuse soit-elle), c’est aussi une terre nourricière. L’agriculture est un élément essentiel du développement de notre territoire, qui s’illustre par la diversité et la qualité de ses productions, de l’élevage au maraîchage, des céréales à la viticulture.

Nos terres nous permettent d’y produire ce que nous mangeons et nous devons en prendre soin.
Cette réalité s’inscrira aussi dans le Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) que nous sommes en train de construire.

Mettre en commun nos forces nous permettra de relever le défi de vivre demain dans un monde durable. Les annonces, même autour d’une botte de paille, ne suffisent plus ; les actes sont attendus. Vite !

Stockage de CO2 : ne les laissons pas sacrifier le Bassin de Lacq

Stockage de CO2 : ne les laissons pas sacrifier le Bassin de Lacq

Le Bassin de Lacq, c’est 1600 nouveaux emplois attendus d’ici à 2028, qui, additionnés aux 7500 emplois industriels actuels, rendront notre territoire plus dynamique qu’à l’époque faste de l’extraction gazière.
Le parfait exemple est le projet e-Cho (bio-carburants) avec ses 2 milliards d’investissement et ses 800 emplois directs et indirects.
Le territoire de Lacq-Orthez, c’est 55 000 habitants, plus de 20 000 emplois, un territoire en pleine croissance.
La Communauté de communes de Lacq-Orthez, c’est 9 millions d’euros de budget d’investissement, votés hier par les élus pour des missions de service public (voirie, mobilités, traitement des déchets…) maintenues voire accrues et sans augmentation de la fiscalité.

Les voyants sont au vert… En seulement dix ans, par des actions politiques offensives, nous avons rendu notre territoire actif et attractif.

Aujourd’hui Lacq-Orthez décarbone l’avenir !

Pourtant des « pôles de réflexion », un pétrolier étranger, un acteur de transport et de stockage de gaz flanqué de quelques personnes zélées, voudraient tout faire disparaitre en transformant notre territoire en lieu de stockage souterrain de CO2, au bénéfice de gros pollueurs (qui ne sont pas du Béarn).

Depuis de nombreux mois j’alerte – comme via cette newsletter en avril dernier mais aussi à plusieurs reprises auprès du gouvernement, des décideurs, des entreprises impactées (dont le PDG de TotalEnergies), et des salariés – sur ce sujet qui soumettrait notre population à des risques non maîtrisés.

Les promoteurs de cette idée de séquestration nous affirment que stocker du CO2 dans des puits qui ne sont plus en activité est une solution… Mais les puits du Bassin de Lacq ne sont pas déplétés (ils sont toujours en activité) ! Des contrats d’exploitation de ces puits courent jusqu’en 2043 et d’ailleurs, force géologique de notre sous-sol, les gisements se regonflent, il y aurait donc une exploitation possible au-delà.

Si l’extraction commerciale a pris fin en 2013, le gaz de Lacq est toujours utilisé pour les activités industrielles. 1500 emplois y sont directement liés, en particulier pour la chimie du souffre dont ARKÉMA est le leader mondial. Et ces emplois sont la base des 7500 emplois industriels du Bassin de Lacq. Stopper l’extraction actuelle du gaz c’est tuer tous ces emplois, c’est tuer un bassin de vie qui renaît, c’est tuer notre territoire d’excellence.

Toutes ces années d’efforts pour accueillir des industries innovantes participant à la décarbonation de la Planète et à la souveraineté nationale ne peuvent pas être réduites à néant, pour de la spéculation et du green washing.

Les solutions d’évitement, de réduction et de valorisation du CO2 sont, à mon sens, la priorité.

Nous sommes, plus que jamais, engagés à défendre nos trajectoires industrielles et économiques nouvelles au bénéfice de toutes et de tous et de Lacq-Orthez.


En illustration, la pose de la première pierre de la 6ème ligne de production de Toray à Abidos mercredi dernier, 125 millions d’euros et 50 emplois supplémentaires, avec le soutien financier (entre autres) de la CC Lacq-Orthez. Ça c’est de la décarbonation utile.

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Soutenir les leaders locaux

Soutenir les leaders locaux

Hier, en compagnie des vice-présidents et conseillers délégués de la Communauté de communes de Lacq-Orthez (et des services), nous nous sommes rendus chez TORAY Carbon Fibers Europe.

L’entreprise, créée en 1982 (coentreprise Toray et Elf-Aquitaine) et désormais 100 % japonaise depuis 2011, est présente sur deux sites : Lacq et Abidos (le fameux bâtiment orange long de plus de 600 m).
Avec ses 400 salariés, elle réalise localement de la fibre de carbone et des matériaux composites de très haute qualité (premium), utilisés dans l’aérospatiale (tout ce qui vole), l’automobile, le maritime, le nucléaire (pour l’enrichissement de l’uranium civil), l’éolien (pour faire des éoliennes plus grandes, plus légères et plus productives), le cyclisme et les transports électriques.

Derrière les murs de nos industries se cachent autant de productions pour notre quotidien que de créations pour un futur plus respectueux de notre Terre.

Depuis la création de la première ligne de production, toujours en activité, sur notre territoire en 1985, Toray a su se développer et faire face à différentes crises (dont les dernières : crises COVID, crise de l’aéronautique, crise énergétique) en investissant d’autres marchés, préservant ainsi l’activité dans les contextes difficiles. Désormais une sixième ligne de production est en construction (TEF 6).
Celle-ci répond certes à la demande mais aussi au développement des marchés de matériaux innovants de haute technologie.
Pour cet investissement, pour les 50 emplois d’opérateurs qui seront créés, pour le soutien à un leader mondial présent sur notre territoire, les élus de la CCLO ont voté l’attribution d’une aide de 250 000 €. Additionnés aux soutiens de la Région Nouvelle-Aquitaine, du Département des Pyrénées-Atlantiques et de l’Etat, ce sont 11 millions d’euros de subvention pour un chantier de 125 millions d’euros.

Je tiens à saluer Jean-Marc Guilhempey, son PDG, homme d’actions et de valeurs à la carrière exemplaire. C’est grâce à son investissement personnel que la direction japonaise du groupe Toray fait les bons choix pour l’entreprise et pour l’entreprise sur notre territoire.

Comme le dit la devise de Toray CFE, il faut « innover aujourd’hui pour construire demain ». Par cette aide, par nos actions de développement économique, la CC Lacq-Orthez démontre, une fois de plus, son engagement, depuis une décennie, dans la transition industrielle de notre territoire à travers la transition écologique.

Foire d’Artix, la CCLO aux côtés des commerçants

Foire d’Artix, la CCLO aux côtés des commerçants

Ce week-end, samedi 7 et dimanche 8 octobre, se tiendra la 27ème Foire d’Artix organisée par la Communauté de communes de Lacq-Orthez, en partenariat avec la commune d’Artix.

Avec celle de Mourenx au printemps, avec les Festi’marchés (créés l’été 2020), les marchés nocturnes à Orthez, les animations de Noël… tous ces événements démontrent le soutien, l’accompagnement et le développement de l’offre commerciale sur notre territoire grâce aux actions communautaires.

Entre le développement du numérique (également pour les commerces indépendants), l’évolution des pratiques pour tenter de contrer l’inflation et les répercutions, toujours présentes, de la COVID, le secteur du commerce est en évolution perpétuelle. C’est pourquoi nous accompagnons quotidiennement les commerces qui souhaitent s’implanter, se maintenir ou se développer sur Lacq-Orthez.

A Artix, tout le centre-ville va s’animer pour cet événement commercial gratuit, regroupant une centaine de commerçants et artisans ainsi que les associations locales, présentes pour faire connaître leurs actions.
L’inauguration officielle se déroulera samedi à 11 h sur des rythmes de jazz.
Très musicale, avec ses déambulations et autres divertissements, la Foire profitera de concerts sur scène gratuits de Noémie and Friends quintet samedi à 14 h 30 et du groupe La Chanson Swing et du bal gascon avec danse traditionnelle, Papar’oc (face à la Calendrette) dimanche à 14 h 30.
Sans oublier les incontournables de la Foire : le dîner du samedi (20 h 30 à la salle polyvalente) et le vide-grenier du dimanche.

A Artix ce week-end et quotidiennement sur tout le territoire, la CC Lacq-Orthez soutient le commerce.

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A Lacq-Orthez on ne manque pas d’énergie

A Lacq-Orthez on ne manque pas d’énergie

Aujourd’hui, nous nous sommes rendus à Saucats (Gironde) pour visiter le premier site de stockage d’énergie par batterie de l’entreprise Amarenco – dont les travaux s’achèvent, sur d’anciennes friches industrielles -, avec Jean-Marie Bergeret-Tercq, vice-président au Développement économique à la Communauté de communes de Lacq Orthez, et les services communautaires.

C’est cette même entreprise qui va installer le plus gros site de stockage d’énergie renouvelable sur batterie d’Europe, sur un terrain situé sur les communes de Mourenx et d’Os-Marsillon.

Les travaux du projet dénommé OSMO, d’Amarenco, débuteront d’ici peu, à la fin du second semestre 2023, sur un terrain qui a été en partie vendu par la Sobégi et en partie mis en location par la CC Lacq-Orthez.
Outre le foncier disponible, la proximité du poste électrique d’Os-Marsillon fut un atout dans cette implantation.

Faire de la prospection économique et industrielle, ce n’est pas simplement chercher les entreprises et les usines.
C’est aussi préparer en amont les recrutements (en créant des filières comme nous le faisons déjà avec les formations diplômantes aux métiers de la chimie à Mourenx et le feront encore plus avec le futur Campus des métiers), c’est prévoir de la sous-traitance à proximité, c’est proposer un habitat adapté (comme nous le faisons avec la révision de notre plan intercommunal de l’habitat et la création du Plan local d’urbanisme intercommunal : PLUi), c’est adapter les voies de communication (comme la nouvelle ligne de ferroutage depuis Puyoô et les mobilités)… et c’est répondre aux besoins et attentes des prospects (comme sur le foncier et donc l’énergie).

Les besoins en puissance électrique sont suffisants pour les projets industriels annoncés sur le territoire (Elyse, BioTJet, Carester…). Certes nous disposerons d’assez électricité mais il faut aussi penser à la suite et à l’accueil d’autres entreprises, à longs termes, et qui auront aussi besoin d’énergie pour fonctionner.

Ainsi depuis trois ans, à la CC Lacq-Orthez, élus et agents ont organisé plusieurs rencontres avec les services de l’Etat et ERDF pour préparer l’avenir.

Nous sommes précurseurs dans la décarbonation et la chimie verte et le savoir-faire de nos industries est parfois unique. Nous devons accompagner nos entreprises ! Elles méritent le soutien des collectivités (comme le fait la CC Lacq-Orthez et ses communes) et des pouvoirs publics.

Ce travail d’anticipation, pour les futures décennies, vise à assurer, et à accroître, notre productivité, nos emplois et notre richesse. Nous sommes engagés pour que notre territoire soit toujours en pole-position pour l’avenir de toutes et tous et de notre Planète.

Lacq-Orthez, une terre nourricière

Lacq-Orthez, une terre nourricière

A l’heure où l’on parle de résilience, au moment où la communauté de communes de Lacq-Orthez construit son futur Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi), nous avons souhaité faire un focus sur nos terres nourricières dans le nouveau magazine de l’intercommunalité, qui est actuellement distribué.

L’agriculture est un élément essentiel du développement de notre territoire, qui s’illustre par la diversité et la qualité de ses productions, de l’élevage au maraîchage, des céréales à la viticulture. Nos terres nous permettent d’y produire ce que nous mangeons et nous devons en prendre soin.

Nos agriculteurs, ces femmes et ces hommes qui vivent avec passion leur métier, nous permettent de nous nourrir plus sainement. Leur activité participe aussi à l’entretien de nos paysages et de notre identité : ils sont la signature de notre territoire.

En première ligne face aux aléas climatiques, nos agriculteurs sont en prise directe avec la nature. Ce sont de vrais ambassadeurs de la Terre et ils mesurent mieux que d’autres les effets du dérèglement climatique. Un réchauffement à + 4°C en France d’ici 2100 aura des conséquences irréversibles pour nos terres et pour les Hommes ; nos paysans d’aujourd’hui s’engagent dès à présent pour pallier ces bouleversements en adaptant leur travail.

La communauté de communes de Lacq-Orthez est engagée avec volontarisme dans la préservation de notre terre nourricière.

C’est le sens des politiques que nous menons, avec l’utilisation de produits locaux par les cuisiniers de nos crèches, avec l’animation des marchés de plein vent et l’organisation des marchés des producteurs de pays, mais aussi avec la réduction de nos déchets, la valorisation de nos biodéchets en compost ou biogaz, la production d’énergies renouvelables, le verdissement des activités industrielles et la décarbonation de nos activités.

A partir de cet automne, notre engagement dans la préservation de la biodiversité va prendre un tournant majeur avec la plantation de 25 000 arbres et arbustes pour recréer les haies bocagères.

C’est ensemble, toutes et tous, que nous réussirons à relever les défis qui nous permettront de vivre demain dans un monde durable.

Le Bassin de Lacq : territoire au service de l’hydrogène

Le Bassin de Lacq : territoire au service de l’hydrogène

Depuis hier et jusqu’à demain, les acteurs de l’hydrogène se retrouvent sur notre territoire d’industries Lacq – Pau – Tarbes pour les journées nationales de l’hydrogène.
Entre les plénières, ateliers et autres stands, et avant les visites techniques de demain, j’ai pu présenter notre politique de développement économique à Lacq-Orthez.

La période que nous vivons fait écho à la fin de la Seconde Guerre mondiale : nous sommes à la recherche de notre indépendance énergétique, industrielle et stratégique.
Le conflit en Ukraine, mais aussi la crise de la COVID, nous obligent à retrouver nos indépendances.
L’aventure industrielle que connaît le Bassin de Lacq depuis les années 1960, et notre politique volontariste en matière de foncier d’entreprise depuis dix ans, font de nous un acteur essentiel dans la transition énergétique et la décarbonation des productions.

Les participants de cet atelier sur la « Vie d’un projet hydrogène : du montage à la mise en service » (industriels de procédés et de fourniture hydrogène, développeur de stations H2 et acteurs de la mobilité publique), ont pu apprécier les forces et qualités du Bassin de Lacq.

Notre Bassin profite de son expérience, de sa culture de la sécurité, de ses capacités (foncier, pipelines, voies ferrées, alimentation électrique… synergie entre les industries présentes). Il peut aussi compter sur l’acceptabilité de ses pouvoirs publics et de ses habitants tout en étant reconnu pour être attentif à l’environnement des salariés et à un développement durable de son territoire.

La Communauté de communes de Lacq-Orthez est facilitatrice pour son écosystème industriel et économique.

La preuve en est avec la requalification réussie de la plateforme industrielle de Mourenx – Noguères – Pardies – Bésingrand : trois centrales photovoltaïques, le plus grand méthaniseur de France, la future base logistique de Lidl, ainsi qu’une partie des projets d’Elyse Energy et, de nouveau, du foncier à la vente avec l’achat par la Communauté de communes d’une partie des terrains et locaux d’anciennement MEAC.
Et bientôt encore de bonnes nouvelles.

Du projet au déploiement, de l’installation à l’amorçage de la production, voire à sa diversification, la Communauté de communes de Lacq-Orthez est aux côtés de ses entreprises actuelles et à venir.

Le Bassin de Lacq : modèle d’une réindustrialisation en action

Le Bassin de Lacq : modèle d’une réindustrialisation en action

Le dynamisme économique de notre territoire, notre engagement pour l’aménagement de sites industriels et nos actions dans la décarbonation attirent les regards.

Les magazines « l’Usine nouvelle » et « La gazette des communes » avec l’association des Intercommunalités de France, m’ont appelé à témoigner sur les solutions des collectivités pour attirer les industriels lors d’une web-conférence qu’ils ont organisée le 11 mai dernier.

Parmi les participants, Jérôme DELAY le directeur général d’Alpha chitin a pu illustrer nos actions via l’installation de son entreprise à Lacq l’an dernier.

Malgré l’inflation, malgré les coûts de l’énergie, malgré une situation géopolitique aux conséquences globales inédites… des usines s’implantent, se réinventent, investissent, relocalisent…. des emplois se créent et notre territoire retrouve ses richesses.

Le constat est unanime : les industriels et les acteurs publics ne peuvent que travailler ensemble pour une réussite commune.

Si les collectivités peuvent être des facilitatrices, leurs compétences et leurs moyens ne leur permettent pas tout. Nous avons aussi besoin de l’aide de l’Etat car l’administration française impose des réglementations et des démarches souvent lourdes et longues ; il faut assouplir tout cela et permettre une plus grande décentralisation du développement économique.

Notre bassin industriel suscite beaucoup d’envies. Ce nouveau dynamisme profite à tous et à tout notre territoire.

Pour découvrir nos échanges, cliquez ici.
(Pour pouvoir visionner, il suffit juste de s’inscrire gratuitement)

Ce week-end c’est la Foire (polynésienne) de Mourenx

Ce week-end c’est la Foire (polynésienne) de Mourenx

La 31ème édition de la Foire de Mourenx se tiendra ce week-end, les 13 et 14 mai.

Toujours gratuite (et toujours aussi festive) elle aura pour thème la Polynésie, qui se déclinera en spectacles, ateliers et autres initiations aux coutumes des archipels de l’Océanie…

La Foire de Mourenx est l’événement de promotion du commerce et de l’artisanat : art et déco, habitat et loisirs, terroir et gastronomie, associations locales… avec ses 150 exposants, venus de toute la France, de 9 h à 19 h samedi et de 10 h à 19 h dimanche.

Dans le cadre de sa compétence commerce, la communauté de communes de Lacq-Orthez organise la Foire, en partenariat avec la mairie de Mourenx.

Sous le chapiteau de la CCLO, place du Travail, venez apprendre à mieux trier vos déchets avec des masques de réalité virtuelle et venez prendre conseil sur la rénovation de votre habitation avec l’aide des agents du guichet Habitat-Energie.

Sur l’espace ville de Mourenx, place de Navarre, retrouvez les élus municipaux pour une présentation des réalisations et projets de la ville. Les Mourenxois·es pourront aussi venir pour installer / paramétrer l’application mobile de la ville Imagina.

Depuis de nombreuses années le secteur du commerce doit faire face à de nombreux défis que la Covid est venue accentuer.
Nous pouvons tous faire les mêmes constats : vacance commerciale, difficulté d’accès aux commerces en centre-ville, disparition des indépendants… les crises actuelles viennent y ajouter les liquidations d’enseignes de franchises, la désertion des galeries commerciales et l’apparition de boutiques de « fast-fashion » qui sont un non-sens écologique et même économique.
A la CCLO comme à la mairie de Mourenx nous sommes mobilisés pour nos commerces. L’ouverture récente du Bistro M au Mi[x] et du restaurant du lac à la base de loisirs d’Orthez-Biron en témoignent. Bientôt ce sera au tour du Gabizos de proposer une nouvelle offre de restauration indienne sur la commune.

En attendant, venez nombreux profiter de la Foire de Mourenx !
Retrouvez toutes les animations et les informations pratiques sur www.cc-lacqorthez.fr