Ce week-end c’est la Foire de Mourenx

Ce week-end c’est la Foire de Mourenx

A vos marques, prêts, partez : ce week-end, les 4 et 5 mai, c’est la 32ème édition de la Foire de Mourenx.

Avec sa centaine d’exposants, son entrée et ses animations gratuites, la Foire de Mourenx est l’événement de promotion du commerce et de l’artisanat : art et déco, habitat et loisirs, terroir et gastronomie, associations locales…
Elle est organisée par la Communauté de communes de Lacq-Orthez, via sa compétence Commerce, en partenariat avec la mairie de Mourenx.

Avec les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 le thème était tout trouvé. Tout au long des allées et sur les places mourenxoises, venez profiter des animations gratuites : spectacles de BMX, démonstrations et battles de breakdance, shows du champion de France de foot freestyle… mais aussi des initiations au karaté, au tir à l’arc, à l’athlétisme, à l’escalade, etc., avec des associations locales.

Cette année, les stands et les différents espaces thématiques ont été réorganisés pour permettre de mieux en profiter et pour mieux recentrer la Foire au cœur de la ville.

Ainsi vous pourrez aussi accéder à la médiathèque du MI[X] qui proposera des animations sport et culture.

Sous le chapiteau de la CC Lacq-Orthez, place du Travail, apprenez en vous amusant à devenir des pros du tri des déchets et du compostage avec la réalité virtuelle, et prendre conseil sur la rénovation de votre habitation avec l’aide des agents du guichet Habitat-Energie.

Sur la place du Béarn, le service municipal Education – jeunesse, vous attend sous chapiteau pour jouer, dessiner, cuisiner, fabriquer, se maquiller…

Vous ne serez pas en reste pour vous restaurer, outre les commerces mourenxois et les stands des associations, cette année avec le retour de la mini-ferme du comice agricole, les éleveurs et producteurs locaux vous proposeront un déjeuner servi à table sous leur chapiteau : blonde d’Aquitaine de Lagor, canard de Baigts-de-Béarn, fromages de Monein et glaces de Casteide-Candau…

Samedi soir, un concert avec NOEMIS AND FRIENDS suivi par les MACADAM FARMER vous attend place du Gabizos.

Le secteur du commerce doit faire face à de nombreuses mutations dans les pratiques d’achats de tous. Après la crise de la COVID, la forte inflation des ces derniers mois est venue fragiliser davantage tant des indépendants que des franchisés.
Le commerce s’est mondialisé. Si cela fut parfois bénéfique pour le pouvoir d’achat de beaucoup, cela n’est pas bon pour l’environnement, pour les artisans mais aussi pour notre culture.
Nous ne pouvons pas tout ! Se nourrir, s’habiller, s’équiper n’est pas qu’une question de besoin et d’envie mais aussi de finance et d’accès. C’est pourquoi, à la Communauté de communes comme à la Ville nous sommes mobilisés. Nous faisons de notre mieux pour répondre aux attentes de tous : ce qui souhaitent faire leurs courses à pied dans nos centres-villes, ceux qui prennent la voiture pour aller dans les zones commerciales et même ceux qui souhaitent acheter en-ligne chez nos commerçants locaux, en accompagnant les consommateurs et les commerçants.

Nos foires sont des actrices de nos pratiques commerciales. Elles sont en plus le lieu de réjouissances, d’animations et de gourmandises.
Alors vous êtes toutes et tous attendus de la Foire de Mourenx !

Retrouvez toutes les animations et les informations pratiques sur www.cc-lacqorthez.fr.

L’ancienne papeterie des gaves d’Orthez devient la zone économique de la passerelle

L’ancienne papeterie des gaves d’Orthez devient la zone économique de la passerelle

Longtemps ce fut la papeterie des gaves avant de prendre le nom de son dernier propriétaire. La Saïca à l’entrée sud d’Orthez, entre l’avenue du Pesqué et le gave va devenir, grâce à la Communauté de communes de Lacq-Orthez, la zone de la passerelle : lieu pluriel d’activités de santé, économiques et tertiaires et aussi espace de biodiversité.

En 2017 notre intercommunalité a acheté, par l’intermédiaire de l’Etablissement public foncier local (EPFL), les 11 hectares de cette friche industrielle, à l’abandon depuis plus de 10 ans.

Cette action communautaire rentre dans le cadre de notre politique foncière de développement économique et dans notre volonté de limiter l’artificialisation des sols en réhabilitant des zones oubliées.
Entre 2017 et 2018, la zone a été démolie et dépolluée.

9 hectares du site se trouvent en zone inondable, et en grande partie identifiés Natura 2000 et Zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique (Znieff). D’où notre choix de faire de ces espaces un projet à haute valeur environnementale, tant pour les espaces devenus inconstructibles que pour les futurs espaces tertiaires.

Seule la passerelle (qui donnera son nom au site), de type Eiffel, a été conservée pour sa qualité patrimoniale. Dépolluée et restaurée, en 2021 – 2022, elle permettra une liaison douce entre les deux rives : du collège à la gare, de la rive sud au centre-ville, etc.

Le permis d’aménager pour les futurs occupants comporte un cahier de prescriptions architecturales, environnementales et paysagères : limitation de l’artificialisation des sols, construction sur pilotis, gestion de la hauteur du bâti, architecture bioclimatique et continuité végétale.

Depuis l’année dernière nous travaillons à la renaturation du site (grâce à la supervision d’une écologue). Un véritable chantier s’est porté sur la destruction des plantes invasives telle la renouée du Japon, par fauchage, incinération et décapage des terres.
350 arbres et arbustes, adaptés au lieu et au changement climatique seront plantés et 8500 m² de pelouse et prairies créés dans ce véritable îlot de fraicheur.

La ville d’Orthez souffre de peu d’espaces disponibles pour accueillir de nouvelles activités. Six lots vont voir le jour sur cette zone pour pallier ce manque. Cinq de 800 à 1500 m² et un grand pour le Centre hospitalier des Pyrénées (CHP – hôpital psychiatrique) qui va réunir ses trois antennes orthéziennes sur cet unique site.

Une visite de chantier avec les acteurs professionnels, les services communautaires et les élus concernés a permis de d’apprécier ce considérable chantier à Orthez, pour notre territoire.

Le budget prévisionnel est de 7 500 000 € HT dont 3 000 000 € pour la CC Lacq-Orthez et le reste via différentes subventions de l’Etat, du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine et du Conseil départemental des Pyrénées-Atlantiques.

Le CHP ouvrira dès cet été et l’entièreté de la zone à l’automne.

Le Salon de l’agriculture bat au rythme de notre territoire

Le Salon de l’agriculture bat au rythme de notre territoire

Ces derniers jours je me suis rendu au Salon international de l’agriculture, à Paris, avec Guy Pémartin, vice-président en charge de l’Agriculture à la CC Lacq-Orthez et maire de Baigts-de-Béarn.

Ce déplacement fut l’occasion de retrouver des acteurs du territoire, de prendre en compte toutes les doléances du monde agricole mais aussi d’échanger sur ce qui fonctionne et ce qui est espéré. La crise n’est pas nouvelle, mais elle s’est accentuée par un excès de normes et surtout des prix payés aux agriculteurs qui ne leur permettent plus de vivre.

Le monde agricole, grâce à son salon dédié, peut faire entendre sa voix.
Il est vrai que les multinationales de l’agroalimentaire et les distributeurs sont très visibles mais les plus petits producteurs, ceux de nos campagnes et de notre quotidien sont présents en nombre et font la fierté de notre terroir et la joie des visiteurs.

Loin des débordements de l’inauguration par le Président de la République, les élus locaux sont bien reçus dans leur ensemble. Les agriculteurs sont continuellement en lien avec leurs élus sur le terrain ; ils savent qui les accompagne et qui les défend.

À la CC Lacq-Orthez, nous souhaitons accompagner ceux qui travaillent cette terre nourricière en leur offrant de nouvelles perspectives : préservation des terres, plantation des haies, approvisionnement local dans les crèches, marchés des producteurs, accompagnement de la plateforme « manger Béarnais », méthanisation, pour ne citer qu’elles.

La France monte au Salon de l’agriculture, d’où la présence de stands du Département des Pyrénées-Atlantiques et de la Région Nouvelle-Aquitaine, où j’étais convié aux côtés de leurs présidents.

Le salon n’est pas qu’une vitrine médiatique, c’est aussi le lieu qui propose des solutions concrètes pour une nouvelle agriculture répondant aux défis d’aujourd’hui et de demain.
Ainsi les pépites de l’innovation du Bassin de Lacq y sont aussi présentes, tel que M2i – expert du biocontrôle dans les avancées scientifiques aux enjeux de l’agro-écologie.
J’ai pu retrouver des partenaires économiques de notre intercommunalité comme l’IFP Energies nouvelles (IFP-EN) – acteur majeur de la recherche et de la formation dans les domaines de l’énergie, du transport et de l’environnement – où je me suis rendu avec le préfet des Pyrénées-Atlantiques mais aussi avec Arnaud Montebourg, ancien ministre de l’Industrie puis de l’Economie et promoteur du « made in France ».

Pour terminer, je tiens à apporter mon soutien à l’inscription de la transhumance au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO. Au-delà de la mise en lumière de nos traditions toujours actuelles, c’est aussi leur préservation qui est en jeu. 

2024, des ambitions aux réalisations

2024, des ambitions aux réalisations

S’il suffit d’allumer la télévision pour entendre de mauvaises nouvelles, il suffit de regarder les mois passés et les mois à venir pour voir que 2024 s’annonce bonne pour notre territoire.

A Mourenx, 2023 a été marquée par l’inauguration du pôle de santé, le foudroyage de la tour des Célibataires et le spectacle de Nos Cabanes, qui a mobilisé le tissu associatif, les comités de quartier et d’une manière générale les habitants de la ville.

2024 verra nos ambitions se concrétiser avec, entre autres, la fin des travaux du nouveau gymnase, la livraison de la résidence intergénérationnelle Pablo Picasso, la construction d’un foyer à Mourenx-bourg pour le club de football, la rénovation de la place du Béarn avec des espaces verts et la création d’un cheminement qui ira jusqu’au Belvédère.

Nous allons réhabiliter la friche qu’est devenu le Belvédère avec la volonté de revenir à son état originel et d’en faire le « phare » de Mourenx.

A la Communauté de communes de Lacq Orthez, 2024 est l’année des dix ans. En 2014 ce n’était pas la dernière grande fusion pour notre intercommunalité, non c’était la naissance d’une nouvelle communauté de communes qui, aujourd’hui, s’inscrit dans le paysage comme l’une des plus dynamiques.

Les défis sont nombreux, nos missions sont de plus en plus complexes, les attentes de plus en plus fortes et nous restons les artisans engagés de la vie de nos villes et de nos villages.
Il y a le quotidien – la voirie, les espaces-verts, l’animation, la petite enfance, etc. – et il y des chantiers colossaux qui nous attendent les prochains mois pour dessiner notre territoire pour les décennies à venir : urbanisme, logement, énergies, habitat…

Mais comment pourrait vivre un territoire sans créer de la richesse, sans créer de nouveaux emplois, sans se développer économiquement ? Il ne pourrait pas.
C’est pourquoi notre travail quotidien se porte là-dessus et non sans un certain succès. Nous accueillons les industries de la chimie verte, de la décarbonation, des énergies renouvelables… c’est chez nous que se dessine demain. Avec l’ancien président de la CC Lacq-Orthez, Jacques Cassiau-Haurie, nous avons préparé l’avenir.

Cet avenir se construit avec l’ensemble des acteurs de notre territoire et je les en remercie.

A toutes et tous mes vœux de santé, de bonheur et de prospérité.

Continuons de croire en notre futur et osons !

Stockage de CO2 : ne les laissons pas sacrifier le Bassin de Lacq

Stockage de CO2 : ne les laissons pas sacrifier le Bassin de Lacq

Le Bassin de Lacq, c’est 1600 nouveaux emplois attendus d’ici à 2028, qui, additionnés aux 7500 emplois industriels actuels, rendront notre territoire plus dynamique qu’à l’époque faste de l’extraction gazière.
Le parfait exemple est le projet e-Cho (bio-carburants) avec ses 2 milliards d’investissement et ses 800 emplois directs et indirects.
Le territoire de Lacq-Orthez, c’est 55 000 habitants, plus de 20 000 emplois, un territoire en pleine croissance.
La Communauté de communes de Lacq-Orthez, c’est 9 millions d’euros de budget d’investissement, votés hier par les élus pour des missions de service public (voirie, mobilités, traitement des déchets…) maintenues voire accrues et sans augmentation de la fiscalité.

Les voyants sont au vert… En seulement dix ans, par des actions politiques offensives, nous avons rendu notre territoire actif et attractif.

Aujourd’hui Lacq-Orthez décarbone l’avenir !

Pourtant des « pôles de réflexion », un pétrolier étranger, un acteur de transport et de stockage de gaz flanqué de quelques personnes zélées, voudraient tout faire disparaitre en transformant notre territoire en lieu de stockage souterrain de CO2, au bénéfice de gros pollueurs (qui ne sont pas du Béarn).

Depuis de nombreux mois j’alerte – comme via cette newsletter en avril dernier mais aussi à plusieurs reprises auprès du gouvernement, des décideurs, des entreprises impactées (dont le PDG de TotalEnergies), et des salariés – sur ce sujet qui soumettrait notre population à des risques non maîtrisés.

Les promoteurs de cette idée de séquestration nous affirment que stocker du CO2 dans des puits qui ne sont plus en activité est une solution… Mais les puits du Bassin de Lacq ne sont pas déplétés (ils sont toujours en activité) ! Des contrats d’exploitation de ces puits courent jusqu’en 2043 et d’ailleurs, force géologique de notre sous-sol, les gisements se regonflent, il y aurait donc une exploitation possible au-delà.

Si l’extraction commerciale a pris fin en 2013, le gaz de Lacq est toujours utilisé pour les activités industrielles. 1500 emplois y sont directement liés, en particulier pour la chimie du souffre dont ARKÉMA est le leader mondial. Et ces emplois sont la base des 7500 emplois industriels du Bassin de Lacq. Stopper l’extraction actuelle du gaz c’est tuer tous ces emplois, c’est tuer un bassin de vie qui renaît, c’est tuer notre territoire d’excellence.

Toutes ces années d’efforts pour accueillir des industries innovantes participant à la décarbonation de la Planète et à la souveraineté nationale ne peuvent pas être réduites à néant, pour de la spéculation et du green washing.

Les solutions d’évitement, de réduction et de valorisation du CO2 sont, à mon sens, la priorité.

Nous sommes, plus que jamais, engagés à défendre nos trajectoires industrielles et économiques nouvelles au bénéfice de toutes et de tous et de Lacq-Orthez.


En illustration, la pose de la première pierre de la 6ème ligne de production de Toray à Abidos mercredi dernier, 125 millions d’euros et 50 emplois supplémentaires, avec le soutien financier (entre autres) de la CC Lacq-Orthez. Ça c’est de la décarbonation utile.

Posté dans Économie & Emploi
Soutenir les leaders locaux

Soutenir les leaders locaux

Hier, en compagnie des vice-présidents et conseillers délégués de la Communauté de communes de Lacq-Orthez (et des services), nous nous sommes rendus chez TORAY Carbon Fibers Europe.

L’entreprise, créée en 1982 (coentreprise Toray et Elf-Aquitaine) et désormais 100 % japonaise depuis 2011, est présente sur deux sites : Lacq et Abidos (le fameux bâtiment orange long de plus de 600 m).
Avec ses 400 salariés, elle réalise localement de la fibre de carbone et des matériaux composites de très haute qualité (premium), utilisés dans l’aérospatiale (tout ce qui vole), l’automobile, le maritime, le nucléaire (pour l’enrichissement de l’uranium civil), l’éolien (pour faire des éoliennes plus grandes, plus légères et plus productives), le cyclisme et les transports électriques.

Derrière les murs de nos industries se cachent autant de productions pour notre quotidien que de créations pour un futur plus respectueux de notre Terre.

Depuis la création de la première ligne de production, toujours en activité, sur notre territoire en 1985, Toray a su se développer et faire face à différentes crises (dont les dernières : crises COVID, crise de l’aéronautique, crise énergétique) en investissant d’autres marchés, préservant ainsi l’activité dans les contextes difficiles. Désormais une sixième ligne de production est en construction (TEF 6).
Celle-ci répond certes à la demande mais aussi au développement des marchés de matériaux innovants de haute technologie.
Pour cet investissement, pour les 50 emplois d’opérateurs qui seront créés, pour le soutien à un leader mondial présent sur notre territoire, les élus de la CCLO ont voté l’attribution d’une aide de 250 000 €. Additionnés aux soutiens de la Région Nouvelle-Aquitaine, du Département des Pyrénées-Atlantiques et de l’Etat, ce sont 11 millions d’euros de subvention pour un chantier de 125 millions d’euros.

Je tiens à saluer Jean-Marc Guilhempey, son PDG, homme d’actions et de valeurs à la carrière exemplaire. C’est grâce à son investissement personnel que la direction japonaise du groupe Toray fait les bons choix pour l’entreprise et pour l’entreprise sur notre territoire.

Comme le dit la devise de Toray CFE, il faut « innover aujourd’hui pour construire demain ». Par cette aide, par nos actions de développement économique, la CC Lacq-Orthez démontre, une fois de plus, son engagement, depuis une décennie, dans la transition industrielle de notre territoire à travers la transition écologique.

Changer pour espérer : Lacq-Orthez décarbone l’avenir

Changer pour espérer : Lacq-Orthez décarbone l’avenir

La décarbonation est aujourd’hui un enjeu majeur si nous voulons continuer à vivre sur une planète respirable et assurer un avenir aux générations futures.

Chaque année, chaque mois, nous battons des records de température, nous sommes témoins de phénomènes climatiques plus violents, plus fréquents. La biodiversité, l’accès à l’eau, nos cultures, sont menacés. Chaque année nous consommons toujours plus tôt les ressources de la planète.

Si la situation est alarmante, critique, elle est aussi propice à de nouvelles innovations, à de nouvelles inventions, à la recherche de nouveaux modes de vie pour relever le défi de l’urgence climatique.

Elle nous engage à changer pour espérer.

Sobriété, exigence, innovation et résilience nous permettront de décarboner. Il y a tant d’autres façons encore. Chacun, à sa place, a une responsabilité et se doit d’agir.

La communauté de communes de Lacq-Orthez y prend sa part en accompagnant la production d’énergies renouvelables, en encourageant le verdissement des activités industrielles et en limitant l’impact des activités humaines sur l’environnement.

Nous nous sommes engagés dans la réduction de nos déchets, un meilleur tri et une valorisation de ces derniers.

Nous limitons autant que faire se peut notre empreinte carbone dans nos futurs développements : consommation foncière, mobilités, rénovation énergétique des logements et des bâtiments, circuits courts, recyclage…

Le nouveau magazine communautaire – « LO Mag » – qui vient de sortir, illustre cela au travers des nombreuses actions et politiques que nous mettons en place. Nous avons souhaité y consacrer une grande part car la lutte contre le réchauffement climatique passe aussi par la sensibilisation la plus large possible du grand public.

Au prix de responsabilité et d’actions concrètes nous pouvons construire un avenir durable, en préservant notre planète. C’est ce que nous nous efforçons de faire au quotidien.

Retrouvez le magazine de la CC Lacq-Orthez en ligne sur www.cc-lacqorthez.fr

Foire d’Artix, la CCLO aux côtés des commerçants

Foire d’Artix, la CCLO aux côtés des commerçants

Ce week-end, samedi 7 et dimanche 8 octobre, se tiendra la 27ème Foire d’Artix organisée par la Communauté de communes de Lacq-Orthez, en partenariat avec la commune d’Artix.

Avec celle de Mourenx au printemps, avec les Festi’marchés (créés l’été 2020), les marchés nocturnes à Orthez, les animations de Noël… tous ces événements démontrent le soutien, l’accompagnement et le développement de l’offre commerciale sur notre territoire grâce aux actions communautaires.

Entre le développement du numérique (également pour les commerces indépendants), l’évolution des pratiques pour tenter de contrer l’inflation et les répercutions, toujours présentes, de la COVID, le secteur du commerce est en évolution perpétuelle. C’est pourquoi nous accompagnons quotidiennement les commerces qui souhaitent s’implanter, se maintenir ou se développer sur Lacq-Orthez.

A Artix, tout le centre-ville va s’animer pour cet événement commercial gratuit, regroupant une centaine de commerçants et artisans ainsi que les associations locales, présentes pour faire connaître leurs actions.
L’inauguration officielle se déroulera samedi à 11 h sur des rythmes de jazz.
Très musicale, avec ses déambulations et autres divertissements, la Foire profitera de concerts sur scène gratuits de Noémie and Friends quintet samedi à 14 h 30 et du groupe La Chanson Swing et du bal gascon avec danse traditionnelle, Papar’oc (face à la Calendrette) dimanche à 14 h 30.
Sans oublier les incontournables de la Foire : le dîner du samedi (20 h 30 à la salle polyvalente) et le vide-grenier du dimanche.

A Artix ce week-end et quotidiennement sur tout le territoire, la CC Lacq-Orthez soutient le commerce.

Posté dans Économie & Emploi
A Lacq-Orthez on ne manque pas d’énergie

A Lacq-Orthez on ne manque pas d’énergie

Aujourd’hui, nous nous sommes rendus à Saucats (Gironde) pour visiter le premier site de stockage d’énergie par batterie de l’entreprise Amarenco – dont les travaux s’achèvent, sur d’anciennes friches industrielles -, avec Jean-Marie Bergeret-Tercq, vice-président au Développement économique à la Communauté de communes de Lacq Orthez, et les services communautaires.

C’est cette même entreprise qui va installer le plus gros site de stockage d’énergie renouvelable sur batterie d’Europe, sur un terrain situé sur les communes de Mourenx et d’Os-Marsillon.

Les travaux du projet dénommé OSMO, d’Amarenco, débuteront d’ici peu, à la fin du second semestre 2023, sur un terrain qui a été en partie vendu par la Sobégi et en partie mis en location par la CC Lacq-Orthez.
Outre le foncier disponible, la proximité du poste électrique d’Os-Marsillon fut un atout dans cette implantation.

Faire de la prospection économique et industrielle, ce n’est pas simplement chercher les entreprises et les usines.
C’est aussi préparer en amont les recrutements (en créant des filières comme nous le faisons déjà avec les formations diplômantes aux métiers de la chimie à Mourenx et le feront encore plus avec le futur Campus des métiers), c’est prévoir de la sous-traitance à proximité, c’est proposer un habitat adapté (comme nous le faisons avec la révision de notre plan intercommunal de l’habitat et la création du Plan local d’urbanisme intercommunal : PLUi), c’est adapter les voies de communication (comme la nouvelle ligne de ferroutage depuis Puyoô et les mobilités)… et c’est répondre aux besoins et attentes des prospects (comme sur le foncier et donc l’énergie).

Les besoins en puissance électrique sont suffisants pour les projets industriels annoncés sur le territoire (Elyse, BioTJet, Carester…). Certes nous disposerons d’assez électricité mais il faut aussi penser à la suite et à l’accueil d’autres entreprises, à longs termes, et qui auront aussi besoin d’énergie pour fonctionner.

Ainsi depuis trois ans, à la CC Lacq-Orthez, élus et agents ont organisé plusieurs rencontres avec les services de l’Etat et ERDF pour préparer l’avenir.

Nous sommes précurseurs dans la décarbonation et la chimie verte et le savoir-faire de nos industries est parfois unique. Nous devons accompagner nos entreprises ! Elles méritent le soutien des collectivités (comme le fait la CC Lacq-Orthez et ses communes) et des pouvoirs publics.

Ce travail d’anticipation, pour les futures décennies, vise à assurer, et à accroître, notre productivité, nos emplois et notre richesse. Nous sommes engagés pour que notre territoire soit toujours en pole-position pour l’avenir de toutes et tous et de notre Planète.

Lacq-Orthez, une terre nourricière

Lacq-Orthez, une terre nourricière

A l’heure où l’on parle de résilience, au moment où la communauté de communes de Lacq-Orthez construit son futur Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi), nous avons souhaité faire un focus sur nos terres nourricières dans le nouveau magazine de l’intercommunalité, qui est actuellement distribué.

L’agriculture est un élément essentiel du développement de notre territoire, qui s’illustre par la diversité et la qualité de ses productions, de l’élevage au maraîchage, des céréales à la viticulture. Nos terres nous permettent d’y produire ce que nous mangeons et nous devons en prendre soin.

Nos agriculteurs, ces femmes et ces hommes qui vivent avec passion leur métier, nous permettent de nous nourrir plus sainement. Leur activité participe aussi à l’entretien de nos paysages et de notre identité : ils sont la signature de notre territoire.

En première ligne face aux aléas climatiques, nos agriculteurs sont en prise directe avec la nature. Ce sont de vrais ambassadeurs de la Terre et ils mesurent mieux que d’autres les effets du dérèglement climatique. Un réchauffement à + 4°C en France d’ici 2100 aura des conséquences irréversibles pour nos terres et pour les Hommes ; nos paysans d’aujourd’hui s’engagent dès à présent pour pallier ces bouleversements en adaptant leur travail.

La communauté de communes de Lacq-Orthez est engagée avec volontarisme dans la préservation de notre terre nourricière.

C’est le sens des politiques que nous menons, avec l’utilisation de produits locaux par les cuisiniers de nos crèches, avec l’animation des marchés de plein vent et l’organisation des marchés des producteurs de pays, mais aussi avec la réduction de nos déchets, la valorisation de nos biodéchets en compost ou biogaz, la production d’énergies renouvelables, le verdissement des activités industrielles et la décarbonation de nos activités.

A partir de cet automne, notre engagement dans la préservation de la biodiversité va prendre un tournant majeur avec la plantation de 25 000 arbres et arbustes pour recréer les haies bocagères.

C’est ensemble, toutes et tous, que nous réussirons à relever les défis qui nous permettront de vivre demain dans un monde durable.