Indépendance énergétique : la CCLO a de la ressource

Indépendance énergétique : la CCLO a de la ressource

L’énergie est un sujet majeur tant dans sa raréfaction que dans son coût exponentiel.
Au-delà de la sobriété que nous devons tou·te·s adopter, il faut aussi s’engager pour une énergie plus verte pour préserver notre planète.

A Lacq-Orthez nous menons une politique volontariste dans le domaine des énergies renouvelables.
Deux chiffres illustrent notre engagement et notre évolution.
En 2012, l’industrie du Bassin de Lacq produisait l’équivalent de 45 % des consommations énergétiques du territoire à partir de ressources renouvelables.
Aujourd’hui ce chiffre est passé à 74 % ! Et les projets innovants à venir ne feront qu’accroitre cela.

Ces avancées ont été possibles notamment grâce à la reconversion de la plate-forme de Mourenx – Noguères – Pardies – Bésingrand. Ces friches laissées à l’abandon depuis des décennies, et devenues des maquis à sangliers, ont été acquises par la CCLO, nettoyées et proposées à la vente. Les terrains inconstructibles étant réservés à la production d’énergie solaire et le reste à des projets liés aux énergies renouvelables et à la base logistique de Lidl créatrice de 300 emplois.

La centrale photovoltaïque de TotalEnergies a pu s’y installer sur 70 ha et produit 54 MW d’électricité, soit l’équivalent de la consommation annuelle de 61 500 habitants.

Egalement le méthaniseur Biobéarn y produit du gaz vert qui, à terme, équivaudra à la consommation annuelle de 18 300 habitants.

Au-delà du Bassin de Lacq, nous disposons aussi des sites majeurs tels que la centrale hydroélectrique de Baigts de Béarn qui produit 20 MW.

Nous pourrions citer encore d’autres productions d’énergies vertes (tel le biocarburant de chez Vertex) et d’autres projets de prospects d’envergure sur l’hydrogène et l’azote par exemple.

Ces actions font de notre territoire un pôle de référence des énergies décarbonées.
Seul un tel volontarisme, des élu·e·s locaux, du législateur et de l’Etat permettra d’éviter une crise énergétique durable : néfaste pour les ménages, néfaste pour les entreprises et dangereuse pour notre planète.

La CCLO territoire économique attractif et dynamique

La CCLO territoire économique attractif et dynamique

La semaine dernière j’ai participé à la 32ème convention des intercommunalités de France, à Bordeaux.

Il m’a été demandé d’intervenir sur l’attractivité territoriale en matière économique. Ceci illustre bien que notre communauté de communes est reconnue pour son dynamisme économique, face à de puissantes agglomérations et métropoles.

L’arrêt de l’extraction commerciale de gaz sur le Bassin de Lacq en 2013 aurait pu engendrer la fin de notre vitalité. Pourtant nous avons su nous renouveler, nous réinventer autour de la chimie verte, des matériaux avancés et avec une stratégie ambitieuse sur la transition énergétique. La reconquête des friches et nos acquisitions foncières, nous permettent d’accroitre notre développement.

Toutes ces actions portent leurs fruits en matière de création d’emplois et d’investissements.

Dans les cinq prochaines années, rien que sur le Bassin de Lacq, il est prévu la création de 500 emplois et des investissements d’au moins 500 millions d’euros (chiffres GIP Chemparc). Ce chiffre est considérable et symbolise notre réussite commune.

Dernièrement de nombreux projets se sont concrétisés, tant avec des PME audacieuses et novatrices qu’avec de grands groupes internationaux.

La dernière extension de Chemstart’up a créé une vingtaine d’emplois supplémentaires sur le centre d’innovation et de transfert technologique de notre GIP.

En offrant des conditions favorables et des facilités à l’implantation, nous sommes à l’écoute des industriels.

Ainsi quatre nouveaux projets majeurs sont en discussion avec plusieurs prospects d’envergures.

Désormais, la CCLO aborde l’avenir avec optimisme.

Une économie toujours en croissance

Une économie toujours en croissance

Ce matin, avec des élus de la CCLO et les services, nous nous sommes rendus sur la nouvelle extension de Chemstart’up.

Lancée il y a 10 ans à peine, la plate-forme de recherche, de développement et de transfert technologique (portée par la CCLO et Chemparc) en est à sa troisième extension : signe du dynamisme économique retrouvé de notre bassin !

Désormais Arkema, M2i et CANOE disposent de laboratoires et locaux encore plus novateurs pour le développement de leurs activités. Ce sont ainsi 85 emplois qui composeront la plate-forme (et 100 à l’avenir).

Nous avons continué par la visite du chantier de l’entreprise Alpha chitin à Lacq, qui, dès cet automne, sera le premier site français de production de chitine et chitosane pour des composants pharmaceutiques. Cette industrie novatrice va employer 12 salariés au démarrage (puis 55 à l’horizon 2024).

La Communauté de Communes de Lacq-Orthez s’est lancée depuis quelques années, dès la mandature de Jacques CASSIAU-HAURIE, dans une politique offensive de reconquête économique et industrielle.

Nous avons, par exemple, racheté d’anciennes friches industrielles (Rio Tinto ex-Pechiney, Célanèse ex-Rhône-Poulenc) pour les aménager et permettre l’installation de nouvelles activités et la création de nombreux emplois. Près de 500 créations d’emplois sont prévues dans les prochaines années avec notamment la base logistique du groupe Lidl.

Ces terrains accueillent aussi une méga-production d’électricité photovoltaïque et dès cet été la production de biogaz avec le méthaniseur de TotalEnergies. Au moment où notre pays se questionne sur son indépendance énergétique, nous pouvons affirmer que ces choix étaient les bons, malgré les quelques détracteurs dont la motivation pouvait sembler douteuse.

Aujourd’hui, ce virage dans l’histoire du bassin de Lacq nous permet d’accueillir plus largement de nouveaux projets dans le domaine de la chimie verte.

Au-delà de l’industrie ce sont tous les métiers de la sous-traitance, du commerce, de l’artisanat, des services, du tourisme, de l’agriculture, de l’économie sociale et solidaire que nous soutenons de Puyoô à Monein, de Lagor à Arthez-de-Béarn, dans nos 61 communes.

Nous sommes une terre économique et dynamique. C’est l’activité économique, créatrice de nombreux emplois, et donc de richesse pour les administrés, qui nous permet de maintenir notre niveau élevé de service public et d’aborder l’avenir avec optimisme.

Vous pouvez retrouver tous ces projets officiels (car bien sûr les « prospects » que nous avons, avec leurs clauses de confidentialité, ne nous permettent pas d’évoquer d’éventuels beaux projets à venir encore) dans le dernier magazine de la CCLO, en cliquant ici.

Le Belvédère : un projet phare

Le Belvédère : un projet phare

Mercredi, une délégation du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine est venue à notre rencontre pour découvrir le projet du Belvédère.

Laurence Rouède, vice-présidente du Conseil régional, et de Frédérique Espagnac, sénatrice et conseillère régionale, et les services régionaux sont venus préparer les futurs contrats de développement et de transition et programmes Leader (initiative de l’Union Européenne pour soutenir des projets de développement rural lancés au niveau local).

Ce qui a permis, hier, de voir l’attribution de crédits complémentaires pour les études votés à l’unanimité lors du comité Leader pour le Belvédère à hauteur de 22 000 euros (mais aussi pour la place du Béarn pour 18 000 euros).

Etablissement phare de notre commune, le Belvédère va renouer avec ses heures de gloire en devenant un lieu de séminaires.

Un constat est rapidement apparu auprès des entreprises locales. Notre territoire, avec le temps, ne disposait plus de lieu de rencontres (de travail et de réception) pour celles-ci. Le Belvédère, par le passé, a eu ce rôle. Avec notre projet il redeviendra ce lieu de qualité.

Avec l’appui de la Société d’Equipement des Pays de l’Adour (SEPA), la Ville de Mourenx a décidé de faire renaître ce lieu. Le projet du Belvédère résume à lui seul plusieurs dimensions du renouvellement urbain de la ville qui s’achève et du nouveau départ du territoire engagé ces dernières années.

A l’image des autres constructions, le collectif d’architectes reprendra, pour le Belvédère, les caractéristiques de l’architecture rationaliste du début des années 1960 : simplicité des volumes, jeux de rythme sur les façades, baies-vitrées, murs de béton caverneux, réutilisation du sol en pierre d’Arudy, etc.

Ce lieu sera également l’occasion de raconter l’histoire de Mourenx et du bassin industriel en mettant en avant les grands temps forts de son passé, de son présent et de son futur. Avec, par exemple, la création d’une scénographie moderne et numérique pour imprégner le visiteur d’un héritage historique.

Depuis le début de cette année les services municipaux travaillent aux démarches de concertation. Les travaux et aménagements sont prévus pour 2023 – 2025, le tout pour une inauguration fin 2025.

Budget 2022 : investir dans l’avenir

Budget 2022 : investir dans l’avenir

Le budget de la ville de Mourenx a été voté hier soir en conseil municipal.

Notre santé financière est saine avec 15 millions d’euros de budget : 5,8 millions € en investissement et 9,2 millions € en fonctionnement.

Le nouveau départ est engagé : la bonne gestion financière de la commune et la maîtrise de nos dépenses de fonctionnement nous permettent de maintenir un niveau d’investissement très important. Là où les communes de même strate investissent 309 euros par habitant, nous investirons cette année 680 €/habitant (hors pôle de santé), soit plus du double de la moyenne nationale !
Nous engagerons dès le mois prochain la rénovation de notre gymnase municipal. Le nouveau centre culturel abritant l’école de musique, Ibéria Cultura et ADEMA sera livré cet été et permettra aux trois associations d’exercer dans des conditions optimales.
Le pôle de santé, en cœur de ville, se rajoute à ces investissements et développera l’offre de santé à Mourenx : médecins, infirmiers, sages-femmes, podologue, psychologue, ostéopathe, télé-ophtalmologue…

Tous ces projets d’avenir, pour notre ville et notre territoire, sont déjà notre quotidien.
C’est maintenant que nous dessinons la ville de demain.

Les efforts consentis depuis plusieurs années pour maîtriser les dépenses et le fonctionnement, pour optimiser la recherche de financements extérieurs et d’autofinancements et pour réduire la dette nous permettent d’investir à la fois dans des projets structurants et dans les opérations courantes, malgré un contexte financier toujours plus contraint du fait de la baisse des dotations de l’Etat.

De nombreux investissements ont été réalisés pour moderniser l’habitat, les équipements sportifs et culturels, les écoles, les espaces publics…

A la fin de notre mandat, et malgré tous ces investissements, le niveau d’emprunt sera de 7,2 millions d’euros. Soit 1,5 million de moins qu’en 2014 où nous étions à 8,7 millions d’euros de dette.

Aujourd’hui comme demain, nous mettrons tout en œuvre, aussi via une dynamique budgétaire positive, pour nos valeurs de solidarité, de coopération et de proximité, comme nous nous y sommes engagés.

Pour un territoire hydrogène

Pour un territoire hydrogène

Lundi s’est tenu un événementiel autour de l’hydrogène organisé par le Territoire d’industrie Lacq – Pau – Tarbes qui a rassemblé près de 200 acteurs publics et privés.

En tant que Vice-Président du pôle métropolitain du Pays de Béarn en charge du Développement économique, ce fut l’occasion pour moi de rappeler les nombreux atouts de notre territoire pour l’avenir de cette filière. Nous disposons déjà d’acteurs majeurs de l’industrie et de la recherche engagés dans des projets hydrogène tels qu’Air Liquide à Pardies, H2V à Lacq mais aussi Canoë (au sein de notre structure Chemstart’up).

Si le bassin de Lacq dispose d’atouts pour cette énergie de la transition écologique, elle sera aussi source de création d’emplois (à tous les niveaux) et des formations qui y mènent.

La transition énergétique ne peut se faire que par une volonté politique affirmée.
L’hydrogène représente pour nous l’énergie de demain dont les usages sont déjà présents sur notre large écosystème territorial.

Avec le Territoire d’industrie nous avons produit un livre blanc présenté à cette occasion. Ce travail collectif d’envergure propose une stratégie « Pyrénées Hydrogène » à l’horizon 2040 et à l’échelle européenne. Nous y développons nos engagements et nos perspectives pour de l’hydrogène décarboné dans une filière structurée, avec une stabilité de la demande avérée et des approvisionnements garantis.

La Communauté de Communes de Lacq-Orthez est pleinement engagée dans la transition énergétique.
Face à l’urgence climatique, notre territoire investit vertueusement pour l’avenir et est ainsi devenu un pôle de référence en matière de chimie verte et de bioénergies. Aujourd’hui et demain avec l’hydrogène nous nous engageons davantage dans les énergies vertes.

Photo : © Michel Malvezin – Pays de Béarn

Un territoire d’excellence : nouveau partenariat chez Novasep

Un territoire d’excellence : nouveau partenariat chez Novasep

Ce matin, lors d’une visite de leur site industriel à Mourenx, le groupe Novasep a annoncé un important nouveau partenariat avec le groupe Amarin.

Amarin Corporation, fondée en Grande-Bretagne il y a une trentaine d’années, est une société biopharmaceutique dédiée au développement et à la commercialisation de nouvelles solutions thérapeutiques dans le domaine de la santé cardiovasculaire.
Avec Novasep ils vont produire le principe actif d’un traitement destiné à réduire le risque d’événements cardiovasculaires tels que les infarctus du myocarde, les accidents vasculaires cérébraux (AVC) et les décès d’origine cardiaque.
En France, 4,1 millions de personnes vivent avec une maladie cardiovasculaire. C’est d’ailleurs la première cause de décès chez les femmes et la deuxième cause chez les hommes dans notre pays.

Cette bioproduction se réalisera dans l’unité de production Leffe, livrée en 2015, qui fut financée par la CCLO à hauteur de 1,3 millions d’euros.

Après l’annonce de la production du traitement anti-COVID de Pfizer il y a quelques semaines (et les 40 emplois créés pour cela), Novasep prouve une nouvelle fois ses performances et sa réussite sur notre territoire.

Elle est, par ailleurs, la seule entreprise de France doublement lauréate du plan « France relance ».

A l’heure où beaucoup souhaitent une France industriellement souveraine, sur notre territoire c’est déjà une réalité.
Nous sommes engagés dans la souveraineté énergétique et pharmaceutique par des investissements massifs, par des relocalisations, par une réelle réindustrialisation, le tout étant créateur d’emplois.

Une nouvelle fois, notre territoire fait preuve de ses savoir-faire et réussites.

Une bonne santé économique pour 2022 faite d’investissements et d’emplois

Une bonne santé économique pour 2022 faite d’investissements et d’emplois

L’année 2022 commence de manière radieuse pour notre territoire avec l’annonce de deux bonnes nouvelles économiques qui viennent confirmer notre dynamisme et notre savoir-faire.

En premier lieu, la société Carester a annoncé son projet d’implantation industrielle Caremag sur la zone Induslacq.
Après avoir mis en concurrence plusieurs territoires, c’est à Lacq que cette entreprise a décidé d’implanter son premier démonstrateur industriel permettant de recycler les aimants d’équipements en fin de vie. Les terres rares qui en seront extraites permettront d’assurer la production de véhicules électriques et d’éoliennes, aujourd’hui principalement importées de Chine. Cette unité industrielle contribuera à sécuriser l’approvisionnement en France et en Europe.
Avec un investissement de 42 millions d’euros, l’entreprise créerait une soixantaine d’emplois directs, à l’horizon 2024.
Outre la CCLO, le concours d’acteurs du territoire a permis cette implantation : notre GIP Chemparc, la Région, le Département, le BDEA qui se sont mobilisés avec TotalEnergies et la Sobegi.

La seconde bonne nouvelle nous vient du groupe pharmaceutique américain Pfizer qui s’apprête à confier au sous-traitant Novasep, de Mourenx, la production de sa pilule anti-COVID.
520 millions d’euros sur cinq ans sont prévus pour soutenir l’innovation et la recherche vers un traitement contre la COVID-19. Novasep, spécialisée dans la production de principes actifs de médicaments, bénéficiera d’une partie de cet investissement, d’un agrandissement de son usine et surtout de la création d’une quarantaine d’emplois directs.

De tels investissements sont pour le bassin de Lacq, pour l’ensemble de notre territoire, une reconnaissance de notre expérience et de notre savoir-faire unique.

Notre principale mission au quotidien est de faire venir des entreprises et de développer le territoire.
Les décisions, parfois audacieuses, prises ces dernières années par la CCLO pour le développement économique de notre territoire portent leurs fruits. Les implantations d’Alpha chitin, du méthaniseur de TotalEnergies, de la plate-forme logistique de Lidl, le développement de Novéal, de Cosméfab, de Chemstart’up… et bien d’autres encore, en sont la preuve.
Ces projets, le plus souvent tournés vers des productions respectueuses de l’environnement, se concrétisent et sont source d’emplois.
Créer des emplois c’est créer de la richesse, c’est faire vivre des foyers, c’est maintenir et développer des services et des commerces, en somme c’est faire prospérer notre territoire.

Alors soyons fiers de nos entreprises, de nos actions, de notre territoire !

Pour en savoir plus + :
sur Caremag, cliquez ici.
sur Pfizer chez Novasep, cliquez ici.

Les feux sont au vert

Les feux sont au vert

Notre territoire de Lacq-Orthez va bien, il va économiquement très bien.

Sur le bassin de Lacq tous les feux sont au vert. Chemstart’up s’agrandit une nouvelle fois, le permis de construire du centre logistique de Lidl (avec ses 300 emplois à la clef) est signé, le méthaniseur Fonroche/Total énergies sort de terre, les travaux de Comgraf Alpha chitin sont également lancés, bientôt ce seront ceux du centre de stockage d’énergie… Tant de projets deviennent réalité. Ils sont la preuve de la réussite de notre politique de reconquête de notre territoire par le développement économique et par des entreprises et industries tournées vers la transition énergétique.

Satisfaits de ces réussites, nous aurons bientôt le plaisir d’annoncer d’autres bonnes nouvelles.

Notre territoire est fort et est un contre-pied à l’hypermondialisation dévastatrice dont les effets se font sentir comme jamais.

La moindre production est directement absorbée par les puissances productives. Est-il normal que le bois aquitain parte directement en Chine alors que les menuisiers et professionnels locaux n’arrivent pas à se fournir ?

Il est en est de même pour l’approvisionnement en métal qui fait tant souffrir le domaine de la construction ces derniers mois.

Tous, producteurs, entrepreneurs et consommateurs nous en souffrons. Le monde ne tourne pas rond et nos dirigeants ne sont pas à la hauteur sur ces sujets.

Seule une réindustrialisation forte et l’apport de moyens conséquents aux producteurs et entrepreneurs français pourra enrayer ce phénomène.

A notre échelle nous y participons déjà en favorisant l’économie locale via la commande publique.

Quand la CCLO refait une route, quand elle construit un bâtiment, quand elle réhabilite une friche industrielle… elle favorise les entreprises locales, qui elles seules créent de la richesse et de l’emploi.

Mais cet engagement pour un développement économique local est un combat de tous les jours pour des investissements offensifs et réalistes.

60 % des Français sont favorables au protectionnisme plutôt qu’au libre-échange mondialisé. Les 40 années de libéralisme ont engendré des injustices, de la casse et des drames. Il est temps de proposer un autre modèle de production et de consommation.

C’est dès aujourd’hui, sur le terrain, avec empathie et bienveillance que nous y arriverons.