Les feux sont au vert

Les feux sont au vert

Notre territoire de Lacq-Orthez va bien, il va économiquement très bien.

Sur le bassin de Lacq tous les feux sont au vert. Chemstart’up s’agrandit une nouvelle fois, le permis de construire du centre logistique de Lidl (avec ses 300 emplois à la clef) est signé, le méthaniseur Fonroche/Total énergies sort de terre, les travaux de Comgraf Alpha chitin sont également lancés, bientôt ce seront ceux du centre de stockage d’énergie… Tant de projets deviennent réalité. Ils sont la preuve de la réussite de notre politique de reconquête de notre territoire par le développement économique et par des entreprises et industries tournées vers la transition énergétique.

Satisfaits de ces réussites, nous aurons bientôt le plaisir d’annoncer d’autres bonnes nouvelles.

Notre territoire est fort et est un contre-pied à l’hypermondialisation dévastatrice dont les effets se font sentir comme jamais.

La moindre production est directement absorbée par les puissances productives. Est-il normal que le bois aquitain parte directement en Chine alors que les menuisiers et professionnels locaux n’arrivent pas à se fournir ?

Il est en est de même pour l’approvisionnement en métal qui fait tant souffrir le domaine de la construction ces derniers mois.

Tous, producteurs, entrepreneurs et consommateurs nous en souffrons. Le monde ne tourne pas rond et nos dirigeants ne sont pas à la hauteur sur ces sujets.

Seule une réindustrialisation forte et l’apport de moyens conséquents aux producteurs et entrepreneurs français pourra enrayer ce phénomène.

A notre échelle nous y participons déjà en favorisant l’économie locale via la commande publique.

Quand la CCLO refait une route, quand elle construit un bâtiment, quand elle réhabilite une friche industrielle… elle favorise les entreprises locales, qui elles seules créent de la richesse et de l’emploi.

Mais cet engagement pour un développement économique local est un combat de tous les jours pour des investissements offensifs et réalistes.

60 % des Français sont favorables au protectionnisme plutôt qu’au libre-échange mondialisé. Les 40 années de libéralisme ont engendré des injustices, de la casse et des drames. Il est temps de proposer un autre modèle de production et de consommation.

C’est dès aujourd’hui, sur le terrain, avec empathie et bienveillance que nous y arriverons.