Mourenx diversifie son parc immobilier

Mourenx diversifie son parc immobilier

Les efforts consentis par la municipalité, depuis près de 9 ans, nous permettent d’investir pour tou·te·s, malgré un contexte financier toujours plus complexe pour les collectivités et les citoyen·ne·s.

De nombreux projets structurants sont déjà une réalité : équipements sportifs et culturels modernisés, écoles rénovées, espaces publics requalifiés… et habitat diversifié.

Lundi, avec Françoise Ramanantsoa notre adjointe en charge des Travaux, de l’Urbanisme et du Renouvellement urbain, nous avons reçu le directeur général de Domofrance, Francis Stéphan, et le président du développement territorial de Domofrance pour les Pyrénées-Atlantiques, Patrick Lacarrere.

Le projet de résidence intergénérationnelle porté par Domofrance avance à grands pas ! La démolition du bâtiment de l’ancienne annexe de l’école Victor-Hugo est désormais achevée et le chantier de construction a démarré, pour une livraison en 2023. La résidence comportera 25 logements d’une grande qualité architecturale : 18 adaptés aux séniors autonomes et 7 maisons pour les familles ainsi qu’une salle d’activités. 

En plus de ce projet majeur, Domofrance va acquérir l’autre partie de l’école Victor-Hugo pour y réaliser des logements sociaux et des logements en accession à la propriété.

La création de logements à Mourenx participe au renouvellement urbain que nous avons initié : un habitat adapté dans un cadre de vie harmonieux.

Le projet Domofrance à Victor-Hugo est à mettre en lien avec plusieurs autres destinés à diversifier notre parc immobilier. D’ici 2025, ce sont plus d’une centaine de logements neufs qui doivent sortir de terre : la prochaine résidence à la place de la tour des célibataires, les futurs logements séniors place du Pic-du-Midi-d’Ossau (à la place du bâtiment E2 détruit en juillet 2018), le lotissement au Quartier Est… pour ne citer qu’eux.

A Mourenx et à la Communauté de Communes (avec le Plan Local de l’Habitat, l’OPAH-RU pour Orthez, l’accompagnement à la rénovation et à l’adaptation des logements, etc.) le logement fait partie de nos priorités.

Nous dessinons la ville de demain. Ces projets de solidarité, de coopération et de proximité illustrent le nouveau départ de notre ville.

Mourenx fait son « Max » face à la crise énergétique

Mourenx fait son « Max » face à la crise énergétique

L’énergie se fait rare et son coût ne cesse d’augmenter. Si nous avons pu voir les forces du territoire de Lacq-Orthez qui est pleinement tourné vers les énergies décarbonées avec, entre autres, des industries vertes, nous ne devons pas oublier l’utilité de plus petits gestes mais qui ont aussi de grands effets.

Rien qu’à Mourenx, si rien n’est fait, la hausse des prix de l’énergie pourrait être de 500 000 € (alors que notre budget principal est de 9 millions).

Pour contrer au maximum cette hausse, nous prenons des mesures.

Si l’éclairage des voies publiques est une compétence intercommunale, seuls les maires décident d’allumer, de réduire ou d’éteindre. La CCLO travaille depuis longtemps sur les économies possibles notamment par l’installation de leds (près de 900 pour nos 2300 points lumineux). Depuis quelques années nous y portons une plus grande attention et sensibilisons les élu·e·s à ce sujet. Ces actions de bons sens sont suivies par beaucoup de maires de la CCLO, parfois avec un engagement très fort.

A Mourenx, depuis le 21 octobre nous avons décidé de réduire l’intensité sur les axes majeurs (de 25 à 50 %) et d’éteindre, de 22 h 30 à 6 h, dans les zones moins fréquentées. En éteignant ainsi la nuit nous réalisons 40 % d’économies et contribuons à la sobriété énergétique nécessaire afin d’éviter des coupures préjudiciables à tou·te·s.

Au-delà de l’éclairage, le chauffage est scruté de près. Il sera abaissé à 19°C dans les bâtiments communaux (Hôtel de Ville, CCAS, foyers associatifs, etc.) et à 20°C dans les écoles.
Ces diminutions ne réduisent pas le bien-être des occupants et permettent des économies conséquentes. Chaque degré de moins c’est 7 % d’économie sur la consommation.

Depuis quelques années nous gérons également mieux notre parc routier. Après avoir converti trois véhicules essence au bioéthanol, nous avons acquis, en août dernier, un troisième véhicule électrique (dédié aux déplacements intra-muros).

La ville de Mourenx fait son « Max » face à la crise énergétique, dans la suite de ses engagements majeurs dans la lutte contre le réchauffement climatique et la protection de la biodiversité.

Pour vous accompagner, nous avons créé Max, petit personnage sympathique qui déclinera nos actions et vous rappellera les bons gestes et astuces pour que vous aussi vous « fassiez votre Max ! ».

Pour en savoir + : www.mourenx.fr

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Pour un cimetière plus accessible, beau et naturel

Pour un cimetière plus accessible, beau et naturel

Après les aménagements effectués au cimetière de Mourenx-Bourg (Jardin du souvenir…), nous en réalisons au cimetière du Point du Jour.

La prise en compte de la préservation de la planète (qui reste une priorité pour nous) et l’interdiction de l’utilisation des produits phytosanitaires obligent les communes à porter une réflexion sur la gestion de leurs cimetières.

Auparavant, le cimetière communal du Point du Jour devait être désherbé très régulièrement et avec des produits peu respectueux de notre environnement.

Pour y remédier, nous aurions pu tout bitumer : moyen le plus simple et ne demandant aucun entretien. Mais nous avons préféré tester, en 2021, l’enherbement et la pose de pas japonais sur quelques allées.

L’enherbement est réalisé avec du gazon résistant aux passages réguliers et aux conditions difficiles. Les bénéfices sont nombreux : l’entretien est facilité et réduit à de la tonte régulière, cela évite d’artificialiser les sols avec un goudronnage et renforce l’identité paysagère du site.
Quant aux pas japonais, ils permettent aux personnes à la mobilité complexe (personnes âgées voire en situation de handicap) de se déplacer aisément en toute saison.

Du fait de ce test très concluant, nous avons débuté une nouvelle phase de travaux pour les allées secondaires, ce mois-ci.

Ce chantier, de 2022 à 2024, est réalisé par une entreprise paysagiste et aura un coût total de 100 000 €.

Par ailleurs, ces dernières semaines, les services de la CCLO ont réalisé une mise en sécurité de certains arbres du cimetière et une réfection de son parking.

Les cimetières sont des lieux qui doivent bénéficier d’une attention particulière. Par cette action au Point du Jour nous le rendons accessible au plus grand nombre, nous lui offrons la qualité qui doit être la sienne et nous respectons notre planète.

Enfin, en cette période de la Toussaint, la Ville renouvelle son dispositif d’accompagnement le lundi 31 octobre et le mardi 1er novembre : un agent communal et des jeunes (bénéficiaires de la bourse au permis de conduire) seront disponibles pour aider à porter les pots de fleurs sur les caveaux. Des brouettes seront également mises à disposition.

Indépendance énergétique : la CCLO a de la ressource

Indépendance énergétique : la CCLO a de la ressource

L’énergie est un sujet majeur tant dans sa raréfaction que dans son coût exponentiel.
Au-delà de la sobriété que nous devons tou·te·s adopter, il faut aussi s’engager pour une énergie plus verte pour préserver notre planète.

A Lacq-Orthez nous menons une politique volontariste dans le domaine des énergies renouvelables.
Deux chiffres illustrent notre engagement et notre évolution.
En 2012, l’industrie du Bassin de Lacq produisait l’équivalent de 45 % des consommations énergétiques du territoire à partir de ressources renouvelables.
Aujourd’hui ce chiffre est passé à 74 % ! Et les projets innovants à venir ne feront qu’accroitre cela.

Ces avancées ont été possibles notamment grâce à la reconversion de la plate-forme de Mourenx – Noguères – Pardies – Bésingrand. Ces friches laissées à l’abandon depuis des décennies, et devenues des maquis à sangliers, ont été acquises par la CCLO, nettoyées et proposées à la vente. Les terrains inconstructibles étant réservés à la production d’énergie solaire et le reste à des projets liés aux énergies renouvelables et à la base logistique de Lidl créatrice de 300 emplois.

La centrale photovoltaïque de TotalEnergies a pu s’y installer sur 70 ha et produit 54 MW d’électricité, soit l’équivalent de la consommation annuelle de 61 500 habitants.

Egalement le méthaniseur Biobéarn y produit du gaz vert qui, à terme, équivaudra à la consommation annuelle de 18 300 habitants.

Au-delà du Bassin de Lacq, nous disposons aussi des sites majeurs tels que la centrale hydroélectrique de Baigts de Béarn qui produit 20 MW.

Nous pourrions citer encore d’autres productions d’énergies vertes (tel le biocarburant de chez Vertex) et d’autres projets de prospects d’envergure sur l’hydrogène et l’azote par exemple.

Ces actions font de notre territoire un pôle de référence des énergies décarbonées.
Seul un tel volontarisme, des élu·e·s locaux, du législateur et de l’Etat permettra d’éviter une crise énergétique durable : néfaste pour les ménages, néfaste pour les entreprises et dangereuse pour notre planète.

Une économie toujours en croissance

Une économie toujours en croissance

Ce matin, avec des élus de la CCLO et les services, nous nous sommes rendus sur la nouvelle extension de Chemstart’up.

Lancée il y a 10 ans à peine, la plate-forme de recherche, de développement et de transfert technologique (portée par la CCLO et Chemparc) en est à sa troisième extension : signe du dynamisme économique retrouvé de notre bassin !

Désormais Arkema, M2i et CANOE disposent de laboratoires et locaux encore plus novateurs pour le développement de leurs activités. Ce sont ainsi 85 emplois qui composeront la plate-forme (et 100 à l’avenir).

Nous avons continué par la visite du chantier de l’entreprise Alpha chitin à Lacq, qui, dès cet automne, sera le premier site français de production de chitine et chitosane pour des composants pharmaceutiques. Cette industrie novatrice va employer 12 salariés au démarrage (puis 55 à l’horizon 2024).

La Communauté de Communes de Lacq-Orthez s’est lancée depuis quelques années, dès la mandature de Jacques CASSIAU-HAURIE, dans une politique offensive de reconquête économique et industrielle.

Nous avons, par exemple, racheté d’anciennes friches industrielles (Rio Tinto ex-Pechiney, Célanèse ex-Rhône-Poulenc) pour les aménager et permettre l’installation de nouvelles activités et la création de nombreux emplois. Près de 500 créations d’emplois sont prévues dans les prochaines années avec notamment la base logistique du groupe Lidl.

Ces terrains accueillent aussi une méga-production d’électricité photovoltaïque et dès cet été la production de biogaz avec le méthaniseur de TotalEnergies. Au moment où notre pays se questionne sur son indépendance énergétique, nous pouvons affirmer que ces choix étaient les bons, malgré les quelques détracteurs dont la motivation pouvait sembler douteuse.

Aujourd’hui, ce virage dans l’histoire du bassin de Lacq nous permet d’accueillir plus largement de nouveaux projets dans le domaine de la chimie verte.

Au-delà de l’industrie ce sont tous les métiers de la sous-traitance, du commerce, de l’artisanat, des services, du tourisme, de l’agriculture, de l’économie sociale et solidaire que nous soutenons de Puyoô à Monein, de Lagor à Arthez-de-Béarn, dans nos 61 communes.

Nous sommes une terre économique et dynamique. C’est l’activité économique, créatrice de nombreux emplois, et donc de richesse pour les administrés, qui nous permet de maintenir notre niveau élevé de service public et d’aborder l’avenir avec optimisme.

Vous pouvez retrouver tous ces projets officiels (car bien sûr les « prospects » que nous avons, avec leurs clauses de confidentialité, ne nous permettent pas d’évoquer d’éventuels beaux projets à venir encore) dans le dernier magazine de la CCLO, en cliquant ici.

En route vers un PLUi

En route vers un PLUi

Lundi c’est à l’unanimité que les élu·e·s de la CCLO ont décidé de réaliser un Plan Local d’Urbanisme Intercommunal (PLUi).

Ce vote nous engage dans une construction commune, au-delà de notre projet de territoire, dans une nouvelle ambition urbaine à l’échelle de l’intercommunalité. C’est la vision de l’ensemble des 61 communes sur leurs propres trajectoires dans un destin collectif.

Si cela n’a pas été rendu possible avant, aujourd’hui, avec du temps et de la pédagogie, nous sommes désormais prêts.

Ce qui pourrait apparaître comme un passage obligé, comme une contrainte réglementaire, doit être au contraire saisi comme une opportunité.

Nous allons co-construire ensemble ce qui sera demain notre feuille de route en matière de développement urbain, agricole, économique, etc.

Il ne s’agit pas d’opposer la vie citadine à la ruralité mais d’affirmer leur complémentarité. D’opposer l’industrie à l’agriculture mais de dire que nous avons besoin de l’une comme de l’autre. D’opposer le développement à l’environnement mais d’associer les deux.

Chacun·e des élu·e·s donnera sa vision du développement de sa commune et de notre territoire.

Les enjeux d’un plan local d’urbanisme unique et en commun sont nombreux. Ensemble nous serons plus forts.
Avec ce PLUi nous mettons plus de NOUS dans le JE.

Notre démographie et les prospectives de l’essor économique seront prises en compte, comme notre travail sur les trames vertes et bleues et leurs corridors de biodiversité.
Ce sont aussi nos différents documents contractuels qui y seront associés : le Plan Local de l’Habitat (PLH), le schéma de développement commercial, nos zones d’activités économiques et commerciales, le tourisme, l’agriculture, le plan mobilité, etc.

Si les élus communautaires ont accepté de s’engager dans le PLUi, c’est désormais aux conseils municipaux d’accepter cette longue démarche qui prend corps dès aujourd’hui. La procédure sera ponctuée de nombreux travaux et de nombreuses rencontres (entre élu·e·s, associations et habitant·e·s) pour une adoption à la fin 2025.

Pour un territoire hydrogène

Pour un territoire hydrogène

Lundi s’est tenu un événementiel autour de l’hydrogène organisé par le Territoire d’industrie Lacq – Pau – Tarbes qui a rassemblé près de 200 acteurs publics et privés.

En tant que Vice-Président du pôle métropolitain du Pays de Béarn en charge du Développement économique, ce fut l’occasion pour moi de rappeler les nombreux atouts de notre territoire pour l’avenir de cette filière. Nous disposons déjà d’acteurs majeurs de l’industrie et de la recherche engagés dans des projets hydrogène tels qu’Air Liquide à Pardies, H2V à Lacq mais aussi Canoë (au sein de notre structure Chemstart’up).

Si le bassin de Lacq dispose d’atouts pour cette énergie de la transition écologique, elle sera aussi source de création d’emplois (à tous les niveaux) et des formations qui y mènent.

La transition énergétique ne peut se faire que par une volonté politique affirmée.
L’hydrogène représente pour nous l’énergie de demain dont les usages sont déjà présents sur notre large écosystème territorial.

Avec le Territoire d’industrie nous avons produit un livre blanc présenté à cette occasion. Ce travail collectif d’envergure propose une stratégie « Pyrénées Hydrogène » à l’horizon 2040 et à l’échelle européenne. Nous y développons nos engagements et nos perspectives pour de l’hydrogène décarboné dans une filière structurée, avec une stabilité de la demande avérée et des approvisionnements garantis.

La Communauté de Communes de Lacq-Orthez est pleinement engagée dans la transition énergétique.
Face à l’urgence climatique, notre territoire investit vertueusement pour l’avenir et est ainsi devenu un pôle de référence en matière de chimie verte et de bioénergies. Aujourd’hui et demain avec l’hydrogène nous nous engageons davantage dans les énergies vertes.

Photo : © Michel Malvezin – Pays de Béarn

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Plus d’écologie pour moins de taxes

Plus d’écologie pour moins de taxes

Nous travaillons beaucoup à l’écologie et nous vous en faisons souvent part.

Aujourd’hui nous en avons un nouvel exemple avec la baisse de la Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères (TEOM). Cette dernière finance la collecte de tous les déchets (ordures ménagères et tri sélectif en déchetteries et ramassages à domicile), leur élimination et leur revalorisation.

Car vous triez plus et mieux, nous pouvons réduire notre fréquence de collecte et donc baisser cette taxe.

Je n’ai jamais été favorable à l’écologie punitive… J’estime que les actes écologiques doivent être récompensés, et c’est ce que nous faisons avec la baisse de la TEOM.
Jamais cette taxe n’avait diminuée depuis son instauration à la CCLO.
Aujourd’hui elle baisse de 11 %.

Une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule, lors du conseil communautaire de lundi nous avons décidé de ne pas augmenter les taux d’imposition, comme je m’y étais engagé.

En ces temps où l’inflation est forte et l’avenir bien incertain, ces actions sur la fiscalité sont un soutien au pouvoir d’achat des administrés.

Bio-méthaniseur de Mourenx : économie circulaire et emplois

Bio-méthaniseur de Mourenx : économie circulaire et emplois

Les premiers recrutements débutent pour le méthaniseur de Mourenx.

Présenté lors de la campagne des municipales, le projet de méthaniseur – porté par le groupe TotalEnergies (depuis son rachat de Fonroche en 2021) – prend vie et sera opérationnel d’ici à l’été prochain, avec une première sortie de production à l’automne.

Mercredi dernier, avec des élus de la CCLO nous nous sommes rendus sur son chantier.

En construction sur le site de Rio Tinto, ex-Pechiney, ce méthaniseur est un projet d’économie circulaire au cœur de notre territoire.
Le bio-méthaniseur valorisera des sous-produits agricoles et agro-alimentaires locaux pour produire : du biogaz (l’équivalent de la consommation de gaz de plus de 18 000 habitants) directement réinjecté dans le réseau, et du digestat (engrais organique pour fertiliser les sols agricoles, utilisé comme substitut aux engrais chimiques).
Cette production permettra l’économie de plus de 13 000 tonnes de CO2 et combat donc également le réchauffement climatique.

Sa technicité (entre autres l’hygiénisation) et son cahier des charges restrictif (refus de déchets non biodégradables) font que ce méthaniseur ne sera pas source d’effets secondaires néfastes comme le sont souvent les plus petites structures.

Pour l’unité mourenxoise TotalEnergies va recruter 7 emplois directs. L’activité du méthaniseur sera également source d’emplois indirects.
Dès aujourd’hui le groupe recherche, en CDI, des opérateur·trice·s logistique et des technicien·ne·s polyvalent·e et de maintenance.
Vous pouvez répondre à ces premières offres ou candidater librement. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site Internet de la CCLO.

Je suis fier de ce projet collectif qui regroupe la CCLO et son GIP Chemparc, la ville de Mourenx, mais aussi Euralis, Teréga et désormais TotalEnergies, sans oublier la Région Nouvelle-Aquitaine, et son président Alain Rousset, qui en est financeur.

Avec les investissements et emplois annoncés chez Caremag et chez Novasep, avec la construction d’Alpha chitin, avec l’extension de Chemstart’up, avec les projets de CSR et de méthanation… nous pouvons dire, en vérité, que notre territoire se porte très bien.

La CCLO prouve qu’elle est pleinement engagée dans un développement économique pour une croissante verte et pour un avenir serein et respectueux de la planète et de tou·te·s.

Une bonne santé économique pour 2022 faite d’investissements et d’emplois

Une bonne santé économique pour 2022 faite d’investissements et d’emplois

L’année 2022 commence de manière radieuse pour notre territoire avec l’annonce de deux bonnes nouvelles économiques qui viennent confirmer notre dynamisme et notre savoir-faire.

En premier lieu, la société Carester a annoncé son projet d’implantation industrielle Caremag sur la zone Induslacq.
Après avoir mis en concurrence plusieurs territoires, c’est à Lacq que cette entreprise a décidé d’implanter son premier démonstrateur industriel permettant de recycler les aimants d’équipements en fin de vie. Les terres rares qui en seront extraites permettront d’assurer la production de véhicules électriques et d’éoliennes, aujourd’hui principalement importées de Chine. Cette unité industrielle contribuera à sécuriser l’approvisionnement en France et en Europe.
Avec un investissement de 42 millions d’euros, l’entreprise créerait une soixantaine d’emplois directs, à l’horizon 2024.
Outre la CCLO, le concours d’acteurs du territoire a permis cette implantation : notre GIP Chemparc, la Région, le Département, le BDEA qui se sont mobilisés avec TotalEnergies et la Sobegi.

La seconde bonne nouvelle nous vient du groupe pharmaceutique américain Pfizer qui s’apprête à confier au sous-traitant Novasep, de Mourenx, la production de sa pilule anti-COVID.
520 millions d’euros sur cinq ans sont prévus pour soutenir l’innovation et la recherche vers un traitement contre la COVID-19. Novasep, spécialisée dans la production de principes actifs de médicaments, bénéficiera d’une partie de cet investissement, d’un agrandissement de son usine et surtout de la création d’une quarantaine d’emplois directs.

De tels investissements sont pour le bassin de Lacq, pour l’ensemble de notre territoire, une reconnaissance de notre expérience et de notre savoir-faire unique.

Notre principale mission au quotidien est de faire venir des entreprises et de développer le territoire.
Les décisions, parfois audacieuses, prises ces dernières années par la CCLO pour le développement économique de notre territoire portent leurs fruits. Les implantations d’Alpha chitin, du méthaniseur de TotalEnergies, de la plate-forme logistique de Lidl, le développement de Novéal, de Cosméfab, de Chemstart’up… et bien d’autres encore, en sont la preuve.
Ces projets, le plus souvent tournés vers des productions respectueuses de l’environnement, se concrétisent et sont source d’emplois.
Créer des emplois c’est créer de la richesse, c’est faire vivre des foyers, c’est maintenir et développer des services et des commerces, en somme c’est faire prospérer notre territoire.

Alors soyons fiers de nos entreprises, de nos actions, de notre territoire !

Pour en savoir plus + :
sur Caremag, cliquez ici.
sur Pfizer chez Novasep, cliquez ici.